Lettre à Maître Patrick Quentin
Maître, Vos plaidoiries – vous avez pu le constater – ont le don de me réjouir. Elles sont creuses et vous jouez merveilleusement faux. On sent le petit bonhomme inintelligent et paresseux. Au lieu de travailler, vous jouez de la corde sensible. C’est facile pour peu qu’on manque de sensibilité vraie. Le honteux procès intenté…