Un révisionniste se doit d’user du tribunal comme d’une tribune
Privé partout ailleurs du droit de s’expliquer librement, le révisionniste ne doit pas hésiter, le cas échéant, à user d’un tribunal comme d’une tribune afin d’y exposer la méthode scientifique qu’il a suivie dans ses recherches et les conclusions historiques auxquelles il est parvenu. De leur côté, avant d’être des pratiquants du droit, les juges sont d’abord des hommes ou des femmes qui, même s’ils sont astreints à observer les usages d’une caste et à préserver un tabou, ne sont pas tous indifférents à la raison, au sens commun, à la démonstration logique, à la solidité d’une argumentation. S’ils sont conduits à penser : « Nous nous trouvons devant un justiciable qui, au contraire de la réputation qu’on lui a faite, semble des plus sérieux », il leur sera difficile, s’ils veulent à la fin condamner ce justiciable, de lui infliger, dans la panoplie des sanctions possibles, une peine de prison ferme ainsi que la lourde peine financière de l’amende, des dommages et intérêts, des publications judiciaires forcées et des frais de toutes sortes. En revanche, si le révisionniste se présente à son procès et, une fois sur place, décide de ne rien ou quasiment rien exprimer de son révisionnisme, il court le risque de se voir juger et condamner comme un individu soupçonné par les juges de s’être tu parce qu’il était le premier à savoir que sa thèse était insoutenable. En France comme à l’étranger, des juges ont manifestement été ébranlés par la solidité de l’argumentation révisionniste. En 2000, à Londres, au terme d’un procès intenté pour diffamation par le semi-révisionniste David Irving, le juge Charles Gray en est venu à confesser ingénument sa surprise d’avoir, contre toute attente, découvert le peu de preuves sur lequel reposait l’affirmation de l’existence de chambres à gaz nazies à Auschwitz. Dans son très long jugement du 11 avril 2000, qui s’achèvera sur le rejet de la plainte d’Irving, il est allé jusqu’à écrire : « Je dois avouer que, comme, je pense, presque tout le monde, j’avais supposé que le matériel prouvant l’extermination massive de juifs dans les chambres à gaz d’Auschwitz était imparable. Pourtant, j’ai rejeté cette idée préconçue quand j’ai pesé le pour et le contre du matériel que les parties ont présenté au cours des débats » (« I have to confess that, in common with most other people, I had supposed that the evidence of mass extermination of Jews in the gas chambers at Auschwitz was compelling. I have, however, set aside this preconception when assessing the evidence adduced by the parties in these proceedings », paragraphe 13.71 du texte de Ch. Gray, consultable à http://www.focal.org/judg.html). Il faut dire que l’expert en « Holocauste » témoignant contre D. Irving n’était autre que Robert Jan van Pelt, « sorte de sous-Pressac » comme je l’ai toujours appelé, qui, comme Jean-Claude Pressac l’avait précisément fait le 15 juin 1995, allait signer un acte de capitulation, le 27 décembre 2009, en déclarant qu’il était inutile de dépenser des fortunes pour la conservation d’Auschwitz puisque, aussi bien, « Pour quatre-vingt-dix-neuf pour cent de ce que nous savons [d’Auschwitz] nous n’avons pas en fait la preuve physique » (« Ninety-nine percent of what we know we do not actually have the physical evidence to prove » (A case for letting nature take back Auschwitz, Toronto Star, 27 décembre 2009).
Personnellement, dès le début des procès pour révisionnisme où j’ai été impliqué, directement ou indirectement, soit en France, soit à l’étranger, j’ai eu tendance à me servir ainsi du tribunal comme d’une tribune, au risque parfois de provoquer un manifeste sentiment d’inconfort chez l’avocat qui m’assistait, la mauvaise humeur du président ou la fureur de la partie adverse. Dans le texte qu’on lira ci-dessous j’évoque « le grand procès de 1981-1983 » où, à Paris, sur le strict plan du débat historique et scientifique, nos adversaires ont vu se confirmer leur impuissance et notre force.
Ils s’en étaient déjà fait une idée auparavant lors d’une sorte de débat qui s’était instauré dans le journal Le Monde sur le problème des chambres à gaz (décembre 1978-février 1979), puis, lors d’un colloque international qu’ils avaient imprudemment organisé à la Sorbonne contre les révisionnistes sur la politique d’extermination des juifs par le IIIe Reich (29 juin-2 juillet 1982). Dans le premier cas, j’avais demandé comment, techniquement, aurait pu fonctionner une « chambre à gaz nazie » ; en particulier, j’avais exigé qu’on m’explique comment, jour après jour, à Auschwitz-Birkenau, juste après le gazage de 3 000 juifs, une équipe de juifs aurait pu, « sur-le-champ [sic] », pénétrer dans un océan de gaz cyanhydrique pour y manipuler à grand ahan des cadavres hautement cyanurés, et donc… rendus intouchables. Trente-quatre universitaires ou chercheurs, dont Léon Poliakov, Pierre Vidal-Naquet et Fernand Braudel, avaient fini par signer une pitoyable « déclaration d’historiens » s’achevant sur la conclusion suivante : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu » (Le Monde, 21 février 1979, p. 23). Quant au colloque de la Sorbonne, il avait fourni à Arno Mayer, professeur à l’Université de Princeton et d’origine juive, l’occasion de jeter le trouble parmi les siens ; pour autant qu’on puisse le savoir, il avait, déjà à cette époque, manifesté un scepticisme qui, six ans plus tard, en 1988, allait le conduire à écrire : « Les sources pour l’étude des chambres à gaz sont à la fois rares et douteuses » (« Sources for the study of the gas chambers are at once rare and unreliable », The “Final Solution” in History, Pantheon Books, New York p. 362). Au terme des débats, lors d’une conférence de presse, les deux organisateurs du colloque, Raymond Aron et François Furet, avaient dû en convenir piteusement : « Malgré les recherches les plus érudites [sic] on n’a pu découvrir aucun ordre de Hitler de tuer les juifs » ; et, pas même d’un mot, ils n’avaient mentionné les armes de destruction massive prétendument utilisées à Auschwitz ou ailleurs, c’est-à-dire les magiques « chambres à gaz » ou les introuvables « camions à gaz ».
Ce sont ces défaites successives et quelques autres encore dans les années suivantes, à Paris ou à Toronto, qui ont conduit, à partir de 1986, Pierre Vidal-Naquet et ses pareils à réclamer contre le révisionnisme une loi spécifique. Cette loi de circonstance, publiée au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990, allait prendre le nom de « loi Gayssot » ou, plus proprement, de « loi Fabius-Gayssot ».
Mais même cette loi, conçue pour brider les juges, n’a pas pour autant conduit ces derniers à bâillonner les révisionnistes dans le prétoire comme l’usage s’en est malheureusement établi en Allemagne et en Autriche. Les révisionnistes se doivent donc, quand ils comparaissent à la barre, de parler haut et fort en toute sérénité et avec la tranquille conviction que leurs arguments sont décidément imparables. Les procès qu’on leur intente peuvent leur valoir, dans l’enceinte même d’un palais de justice, et surtout à Paris, des cris, des invectives, des crachats, des coups et blessures. Mais il vaut la peine d’affronter ces épreuves, de tenir tête à la meute et de défendre sans concession et sans mollesse la plus honorable des causes, celle de la salutaire révision de l’histoire du prétendu « Holocauste des juifs ». L’expérience l’a prouvé, c’est devant les juges et au terme de ces procès infâmes que les révisionnistes ont remporté quelques-unes de leurs plus importantes victoires.
Il se trouve que, récemment, une journaliste d’origine française, qui prépare pour une chaîne de télévision étrangère un documentaire sur le révisionnisme, est venue avec son collaborateur me rendre visite à domicile. Quelque temps après l’enregistrement de séquences filmées à l’intérieur et à l’extérieur, cette journaliste m’a demandé un complément d’information sur les nombreux procès qui m’ont été intentés et sur les quelques procès qu’il m’a fallu, à mon tour, intenter (soit pour diffamation, soit pour obtenir un droit de réponse). Elle comprenait sans doute que, dans un débat historique totalement faussé où seuls les tenants de « l’Holocauste » ont le droit de présenter leurs arguments au public, ces procès avaient servi de tribune aux révisionnistes. De fait, pour ne prendre que cet exemple, les procès intentés à Toronto par des juifs canadiens à Ernst Zündel en 1985 et en 1988 ont permis aux révisionnistes d’anéantir successivement l’expert numéro 1 de « l’Holocauste », l’historien Raul Hilberg, le témoin numéro 1, Rudolf Vrba et d’autres représentants encore d’une thèse mensongère. En de telles circonstances, il aurait été désastreux pour les chercheurs révisionnistes de pratiquer la politique, si tentante, de la chaise vide et de ne laisser s’exprimer que les religionnaires de « l’Holocauste ». De la même façon, les procès intentés à des révisionnistes français, depuis 1979 et jusqu’à nos jours, à Paris ou en province, par des organisations ou des individualités juives, ont tourné à la confusion d’un Pierre Vidal-Naquet, d’un Georges Wellers, ou encore d’un Jean-Claude Pressac, porte-parole de Serge Klarsfeld. Mes adversaires m’ont parfois décrit comme « une bête de prétoire », se portant hardiment « à la barre, sa seule tribune » (Michaël Prazan, Adrien Minard, Roger Garaudy, Itinéraire d’une négation, Calmann-Lévy, Paris 2007, p. 391). Effectivement, privé de toute tribune publique, j’avais conscience de ne pouvoir défendre la cause révisionniste « devant le peuple français » que dans l’enceinte d’un tribunal ou d’une cour d’appel de la République. Et je ne voyais pas pourquoi je l’aurais fait la tête basse.
J’ai répondu à la journaliste qu’il m’était impossible de lui communiquer la masse considérable des dossiers afférents à mes procès mais, désireux de lui en fournir une vue d’ensemble ou un résumé, je lui ai adressé le message qu’on lira ci-dessous. Comme on le verra, tout compte fait, je me demande si le plus emblématique de tous ces procès n’aura pas été, parmi les tout premiers, celui qui a pris fin sur l’arrêt du 26 avril 1983. D’une certaine façon, dans mon propre cas, ce procès-là aura d’avance contenu tous les procès qui lui succéderont.
Message à Madame… , journaliste, sur mes procès
Chère Madame,
Je suis submergé de travail. Je ne peux que vous renvoyer à ce qu’il est convenu d’appeler mon « grand procès », c’est-à-dire le procès qui m’a été intenté en 1979 par neuf associations, principalement juives, pour « dommage à autrui par falsification de l’histoire ».
J’ai certes été condamné pour « dommage à autrui » (articles 1382 et 1383 du Code civil) en première instance, le 8 juillet 1981, et en appel, le 26 avril 1983, mais, dans les deux cas, les juges ont refusé de parler de « falsification de l’histoire » et – le fait allait jeter la consternation chez mes adversaires – la cour d’appel est allée jusqu’à rendre un hommage appuyé à la qualité de mon travail sur « le problème des chambres à gaz », qui était, je vous le rappelle, le point central de mes recherches. Elle a prononcé que dans mon travail sur le sujet elle n’avait découvert trace 1) ni de légèreté, 2) ni de négligence, 3) ni d’ignorance délibérée, 4) ni de mensonge et 5) qu’en conséquence tout le monde devait avoir désormais le droit de dire, comme je le faisais, que les chambres à gaz en question n’avaient jamais existé. Mais la cour n’a pas eu le courage d’aller plus loin et, afin de me condamner [ainsi que l’exigeaient l’esprit du temps et toute une meute de justiciers], elle a cru devoir déclarer qu’au fond j’avais tout de même fait preuve de… malveillance [à l’endroit des juifs] !
Vous trouverez tout cela et d’autres détails instructifs dans un opuscule que j’ai publié en 1983, sous mon nom de plume, J[essie] Aitken (prénom et nom de ma mère, qui était Écossaise) et sous le titre d’Épilogue judiciaire de l’affaire Faurisson.
Quelques observations complémentaires me paraissent ici nécessaires :
1) Rendant compte de l’arrêt du 26 avril 1983, le journal Le Monde en a froidement escamoté deux points essentiels : il a passé sous silence l’hommage que la cour avait rendu à la qualité de mon travail ainsi que l’autorisation accordée à tous les Français de dire que les chambres à gaz en question n’avaient jamais existé ; j’ai exigé du journal la publication d’un texte en droit de réponse et je l’ai heureusement obtenue ;
2) Par la suite, le fameux Recueil Dalloz-Sirey, sous la plume de Bernard Edelmann, juif, a publié sur cet arrêt un compte rendu totalement fallacieux ; j’ai obtenu la condamnation dudit recueil, lequel, en fin de compte, a perdu sa cause, successivement, en première instance, en appel et en cassation ; je me demande si ce n’est pas, dans toute son histoire, la première et la dernière fois que le vénérable recueil a souffert pareille humiliation ;
3) L’un de mes adversaires les plus résolus, le professeur Pierre Vidal-Naquet, juif, s’est vu contraint d’écrire : « La répression judiciaire [contre les révisionnistes] est une arme dangereuse et qui peut se retourner contre ceux qui la manient. Le procès intenté en 1978 [erreur pour : en 1979] à Faurisson par diverses associations antiracistes a abouti à un arrêt de la cour d’appel de Paris en date du 26 avril 1983, qui a reconnu le sérieux du travail de Faurisson, ce qui est un comble, et ne l’a en somme condamné que pour avoir agi avec malveillance en résumant ses thèses en slogans » (Les Assassins de la mémoire, La Découverte, Paris 1987, p. 182) ;
4) Un autre de mes plus farouches adversaires, le professeur Georges Wellers, juif, avait, de son côté, écrit : « Faurisson a été jugé deux fois [en première instance et en appel]. Mais, en France, le tribunal n’est pas qualifié pour se prononcer sur l’existence des chambres à gaz. Cependant il peut se prononcer sur la façon dont les choses sont présentées. En appel, la cour a reconnu qu’il s’était bien documenté. Ce qui est faux. C’est étonnant que la cour ait marché » (Le Droit de vivre, organe de la LIC(R)A, juin/juillet 1983, p. 47) ;
5) Alarmés par leur échec dans ce cas précis et dans quelques autres procès de même nature, les responsables juifs ont, pendant des années, cherché la parade. C’est seulement en 1986 que P. Vidal-Naquet et ses amis, réunis autour du Grand Rabbin René-Samuel Sirat, ont trouvé la solution : selon eux, il fallait créer une loi spécifique faisant obligation aux magistrats de condamner l’expression du révisionnisme historique [appelé « contestation de crimes contre l’humanité »]. Passant un marché avec le Parti communiste, Laurent Fabius, juif, président de l’Assemblée nationale, a obtenu le vote de cette loi grâce à une cynique manipulation de l’affaire du cimetière de Carpentras où son collègue Pierre Joxe, ministre de l’Intérieur et juif, lui aussi, a eu sa part ; l’invention du « manche de parasol dans l’anus d’un cadavre déterré », c’est à L. Fabius que nous la devons. La loi en question, appelée « loi Gayssot » ou « loi Fabius-Gayssot », ou encore « loi Faurisson » (!) est du 13 juillet 1990. Le lendemain, jour de la fête nationale, elle était publiée dans le Journal officiel de la République française / Lois et décrets aux pages 8333-8334, sous la signature de François Mitterrand ; huit pages plus loin était annoncée la nomination au grade de chevalier de la Légion d’honneur de « M. Vidal-Naquet (Pierre), historien ; 35 ans d’activités littéraires », et cela sur proposition de Jack Lang, juif, ministre de la Culture ;
6) Les nombreux procès qui m’ont ensuite valu de comparaître devant un tribunal ou devant une cour d’appel, en qualité soit d’accusé, soit de plaignant (par exemple, pour avoir été diffamé) ont eu valeur de confirmation. Mes adversaires ne se sont plus guère risqués à essayer de prouver que j’étais un «faussaire». Ils se sont simplement répandus en outrages, insultes, injures, mensonges, ressassant des accusations d’antisémitisme ou de nazisme, ou bien ils se sont livrés à des manœuvres dilatoires, à des expédients de prétoire ou encore à de grotesques mises en scène. À ce titre, le procès qu’il m’a fallu intenter à Robert Badinter en 2007 a été un modèle du genre. Ancien ministre de la Justice, R. Badinter, juif, avait eu l’aplomb de déclarer le 11 novembre 2006 sur ARTE : « [En juillet 1981, juste avant de devenir ministre,] j’ai fait condamner Faurisson pour être un faussaire de l’histoire. » Froid mensonge. Jamais de ma vie je n’ai été condamné pour être un faussaire de l’histoire et surtout pas, comme je vous l’ai montré, en juillet 1981 par le tribunal de grande instance de Paris et, encore moins, dans la même affaire, par la cour d’appel de Paris, le 26 avril 1983. R. Badinter était d’autant moins excusable de proférer ce mensonge qu’en 1981 il avait en personne plaidé contre moi, réclamant avec fièvre ma condamnation pour « dommage par falsification de l’histoire ». Si donc quelqu’un était payé pour savoir que tribunal et cour avaient refusé de le suivre, c’était bien notre homme. Et maintenant, écoutez la suite : le 21 mai 2007, le même tribunal de Paris prononçait que R. Badinter avait « échoué en son offre de preuve ». Autrement dit, le personnage avait été incapable de prouver qu’il m’avait fait condamner pour être un faussaire de l’histoire. Et pour cause ! Le camouflet était humiliant : un ancien ministre de la Justice s’était donc rendu coupable de diffamation publique. Il avait proféré un double mensonge : il avait traité un révisionniste de « faussaire » et il avait affirmé qu’un tribunal lui avait donné raison sur ce point. Mais, rassurez-vous, le tribunal, présidé par Nicolas Bonnal, un magistrat qui avait, aux frais du contribuable, suivi un stage spécial d’information sur la Shoah, stage organisé par le tout-puissant Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et par le Centre Simon Wiesenthal de Paris, a passé l’éponge : en fin de compte, le tribunal a conclu que R. Badinter avait certes échoué en son offre de preuve et qu’il m’avait donc diffamé mais… de bonne foi ! Et c’est ainsi que je me suis retrouvé condamné au versement de 5 000 € au bénéfice de mon diffamateur. Les médias, à commencer par Le Monde, ont rapporté la nouvelle de sorte que tout lecteur moyen a cru comprendre que R. Badinter avait fourni la preuve de son allégation et s’était vu confirmer par un tribunal que Faurisson était un faussaire de l’histoire, déjà condamné en tant que tel par le passé. La réalité était bien différente et pouvait se résumer ainsi : « Robert Badinter n’a pas réussi à prouver qu’il avait fait condamner Robert Faurisson pour être un faussaire de l’histoire ; il a donc diffamé ce dernier mais… de bonne foi. »
Bien à vous. Robert Faurisson
15 novembre 2010
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À commander à Akribeia, 45/3, Route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval :
° Jessie Aitken, Épilogue judiciaire de l’affaire Faurisson, La Vieille Taupe, Paris 1983, 32 p, broché, 6 €. Contient le texte intégral de l’arrêt du 26 avril 1983 de la cour d’appel de Paris rendu dans l’un des procès Faurisson.
° Éric Delcroix, La Police de la pensée contre le révisionnisme. Du jugement de Nuremberg à la loi Fabius-Gayssot, La Sfinge, Rome 2006 [1994], 115 p., 15 €. Contient de nombreuses précisions sur les procès intentés aux révisionnistes.
15 novembre 2010