1. En tête tu te mettras que le Mal absolu s’incarne dans le « Nazi » et le Bien absolu, dans sa victime juive. Le Juif tu accableras d’hommages et d’offrandes. Le «Nazi» tu vilipenderas et poursuivras jusqu’au bout de la terre et jusqu’à la fin des temps. Les mouroirs du monde entier tu écumeras à la recherche du dernier Nazi nonagénaire égrotant. L’ayant débusqué, toi et les tiens vous le menacerez d’un nouveau Àrocès. Le lendemain, on le trouvera mort de saisissement. Alors, à son de trompe tu annonceras et tous les médias pourront titrer : « Mort à la veille de son arrestation, le criminel nazi échappe à son châtiment ». À tes enfants tu enseigneras « La peine de mort, c’est mal sauf contre un Nazi ; là, c’est bon et on en redemande. Idem pour la torture. Allons cracher sur les tombes des vaincus ! ». Amen.
2. La bonne parole tu répandras, annonçant à tout vent que le peuple élu par Yahweh pour la raison qu’il est le meilleur d’entre tous a, toujours et partout, été haï, pourchassé, exterminé sans raison aucune, du fait d’un complot planétaire ourdi depuis la nuit des temps par des méchants intrinsèquement pervers contre de pauvres Juifs intrinsèquement inoffensifs. Répète après moi : « Le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde. » Afin de répondre aux critiques dont les Juifs sont la cible, va-t-en dire que les antisémites sont stupides au point de croire en un complot juif. En réalité, les moins stupides d’entre eux ne le disent pas car ils savent que les complots sont la ressource des faibles ; les Juifs sont forts, et n’ont donc besoin d’aucun complot ; ils occupent la place et tiennent le fouet. En France, chaque année, leur plus puissant organisme, le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) convoque dans un cadre luxueux environ mille « invités » à un dîner où les plus hauts responsables politiques de la nation se voient durement reprocher leur inaptitude à sévir contre un antisémitisme décrit comme omniprésent ; au lieu de protester, les accusés courbent l’échine, acquiescent, remercient et promettent de faire plus et mieux l’an prochain pour les Juifs. En 2011 sont venus dîner le président de la République, le Premier ministre et quinze autres ministres ou secrétaires d’État en exercice. Le Président, qui est d’origine juive, achèvera son mandat en 2012, puis il se verra peut-être remplacer, du train où vont les choses, par un riche Juif marié à une Juive richissime ; et puis, si ce n’est ce Juif, c’en sera un autre ; de toute façon la présidence de la République française deviendra un privilège juif. Amen.
3. Avec les yeux de la foi tu croiras en tous les témoignages des innombrables rescapés de « l’Holocauste » ; si, par malheur, un témoignage se révèle outrageusement faux, tu répliqueras que cela n’a pas d’importance, puisque, quand le récit vient du cœur, les notions du vrai et du faux ne comptent plus. Répète après moi : « Je crois en l’authenticité du Journal d’Anne Frank fabriqué, entre nous soit dit, par son père, l’ancien banquier trafiquant de devises Otto Heinrich Frank devenu commerçant, avec, pour la version originale en néerlandais, la complicité d’une feuilletoniste néerlandaise (Isa Cauvern) et, pour les deux versions en allemand, les manipulations d’une traductrice allemande (Anneliese Schütz). Je crois en Martin Gray, marchand de fausses antiquités, puis vendeur de faux mémoires dus à la plume du polygraphe Max Gallo et publiés sous le titre d’Au nom de tous les miens. Je crois en Filip Müller, qui a signé Trois ans dans une chambre à gaz, ébouriffant témoignage rédigé par Helmut Freitag et préfacé par Claude Lanzmann. Je crois en « la Fille aux loups », livre, suivi d’un film, dû à une Belge qui, pendant la guerre, n’avait jamais quitté la Belgique. Je crois en Wilkomirski, de son vrai nom : Grosjean, qui n’avait jamais quitté la Suisse. Je crois en la franchise d’Élie Wiesel, en l’honnêteté de Simon Wiesenthal. Je ne crois pas et je maudis tous les historiens de « l’Holocauste » qui, au lieu de répéter docilement qu’il y a d’innombrables preuves, solides comme le roc, de l’existence des magiques « chambres à gaz », ont osé écrire, tel, en 1988, le professeur juif américain Arno Mayer, qu’en fin de compte il n’y en a de preuves que « rares et douteuses (rare and unreliable) ». Amen.
4. Les révisionnistes tu appelleras « négationnistes ». De lâches tu les traiteras car « ils tuent les morts » même si cela ne veut rien dire. Si un révisionniste français te dit : « Montrez-moi ou dessinez-moi votre magique chambre à gaz nazie », tu répondras : « Il ne faut pas se demander comment techniquement un tel meurtre de masse a été possible ; il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu ». Cette « réponse », trente-quatre universitaires ou historiens, dont Pierre Vidal-Naquet, Léon Poliakov et Fernand Braudel, l’ont admirablement fignolée en 1979. Quand le révisionniste américain Bradley Smith te demandera : « Pouvez-vous, preuve à l’appui, me fournir le nom d’une seule personne qui ait été tuée dans une chambre à gaz d’Auschwitz ? » et quand il ajoutera que, si sa demande semble déplacée, il faudra lui dire pourquoi, par le silence tu répondras. Répète après moi : « Ils ont raison ces Français qui ont dit que la question ne se posait pas et ils ont aussi raison ces milliers d’universitaires qui, de par le monde, ont fait le silence à la fois sur les découvertes scientifiques dues aux négationnistes et sur les déroutes qu’ont subies devant les tribunaux des Raul Hilberg, des Jean-Claude Pressac, des Robert Badinter et tant d’autres ». Amen.
5. D’un cœur sincère tu répéteras après l’Américain Raul Hilberg, notre historien Number One, qu’il est exact, comme l’a admis Léon Poliakov, qu’on ne trouve malheureusement pas dans les archives du IIIe Reich la moindre preuve de ce que les autorités allemandes aient envisagé, organisé et perpétré un massacre concerté des juifs. Reprenant les mots du même Raul Hilberg, tu expliqueras que « l’Holocauste » a été préparé, mis au point et accompli sans aucun ordre (ni de Hitler ni de quiconque), sans plan, sans organisme ad hoc, sans instructions écrites, sans budget, sans rien mais spontanément, grâce à un phénomène de création collective ex nihilo survenu au sein de la vaste bureaucratie allemande. Répète après moi : « “L’Holocauste” a été préparé, mis au point et accompli par la vaste bureaucratie allemande “grâce à une incroyable rencontre des esprits, à une transmission de pensée consensuelle“, et cela “par suite d’un état d’esprit, d’une compréhension tacite, d’une consonance et d’une synchronisation” ». Ne manque pas de rendre hommage au professeur Raul Hilberg pour cette explication marquée au coin du bon sens talmudique. Amen.
6. Aux miracles et aux millions de miraculés juifs tu croiras. Si l’on t’annonçait qu’à Lourdes il s’est un jour produit un miracle, que le lendemain on y a constaté dix miracles et, le surlendemain, cent miracles, tu t’esclafferais à juste titre ; en revanche, si tu t’aperçois qu’avec le temps le nombre des miraculés réclamant de l’argent ne cesse de grandir, répète après moi : « En la matière, plus il y a de miraculés, plus le miracle est avéré. » Tu écarteras de ton esprit la tentation d’ergoter et d’aller dire : « Si un survivant juif est la preuve vivante de quelque chose, c’est bien de ce qu’il n’y a pas eu d’extermination des juifs ; une telle foule de miraculés, ce n’est plus un miracle mais la preuve la plus évidente que les Allemands n’ont eu aucune politique d’extermination des juifs ». Quand les survivants sont nés à Auschwitz ou se trouvent avoir été enfants à Auschwitz, émerveille-toi de ces miracles. Amen.
7. Devant nos reliques tu t’inclineras et tu forceras les goïm à s’incliner. Te rendant en pèlerinage sur les lieux saints, par exemple à Auschwitz, le Golgotha du grand martyre juif transformé en Barnum, tu ne verras ni vraies chambres à gaz ni vraies ruines de chambres à gaz ; à Auschwitz-I on te montrera bien une « chambre à gaz » mais « Tout y est faux » (Éric Conan en 1995). Tu verras des masses de chaussures, de lunettes ou de cheveux dits « de gazés » ou encore des savonnettes censément faites de la graisse de nos frères et sœurs juifs. Pieusement tu éloigneras de ton esprit l’idée que, dans tout pays de l’Europe en guerre, dans les camps comme hors des camps, la disette, la pénurie, le blocus, la destruction par les bombardements alliés obligeaient à la récupération de toutes sortes de matériaux devenus précieux ainsi qu’à leur réparation, rénovation ou recyclage et que les cheveux, par exemple, étaient utilisés dans l’industrie textile. Tu oublieras que les savonnettes, à l’expertise, se sont révélées être de très ordinaires savonnettes. Tu goberas tout. À l’Holocaust Memorial Museum de Washington tu t’inclineras devant le meilleur témoignage possible de l’existence des magiques chambres à gaz : au-dessus d’un monceau de chaussures plus ou moins éculées ou recyclées, en toutes lettres tu pourras lire : « We are the last witnesses » (Nous sommes les derniers témoins) : les chaussures parlent. Si, dans ce vaste musée dépourvu de toute représentation scientifique d’une quelconque « chambre à gaz » nazie, tu aperçois des boîtes de Zyklon B, de toutes tes forces tu résisteras à la tentation d’aller croire que les Allemands les employaient pour un usage normal (celui d’un produit, à base d’acide cyanhydrique, inventé par le savant juif Haber vers 1922 pour tuer la vermine, en particulier les poux, vecteurs du typhus) ; tu te mettras dans l’esprit que les Allemands s’en servaient pour tuer les Juifs, car en tout il convient de ne porter de jugement que par rapport aux Juifs consubstantiellement voués à l’extermination. Pour argent comptant – c’est le cas de le dire – tu prendras les hallucinants récits de nos colporteurs et colporteuses professionnels qui font le tour des écoles, collèges, lycées et autres lieux de formation des goïm. Tu sauras que, dans l’évocation de ce passé, la Mémoire est supérieure à l’Histoire, le roman historique à l’étude scientifique, le théâtre et la fiction à la basse réalité matérielle. Mets-le-toi dans la tête : l’estomac d’un croyant en « l’Holocauste » est capable de digérer des pierres. Amen.
8. Au pinacle du Temple de Jérusalem tu porteras le Père Patrick Desbois qui, dans le cadre de l’association Yahad-In Unum qu’il a formée avec des conseillers juifs, a mis au point la plus époustouflante opération holocaustique qu’on puisse rêver. Sentant avec raison qu’il y avait de l’eau dans le gaz et qu’il convenait donc de ne plus trop chercher à vendre la magique chambre, il a substitué à la « Shoah par gaz » d’abord la super-magique « Shoah par balles », puis l’ultra-super-magique « Shoah par étouffement ». Dans le cadre de la « Shoah par balles » il avait déjà, en juin 2009, découvert sur une partie de l’ancien « Front de l’Est » plus de 1200 charniers contenant plus d’un million de cadavres de Juifs tués par des balles allemandes. Tu ne demanderas pas combien il a ouvert de charniers vu qu’il n’en a ouvert aucun. Tu n’insisteras pas pour savoir combien il a compté de cadavres vu qu’il n’en a exhumé aucun. Mets-toi ici à l’école de l’arithmétique talmudique selon laquelle zéro + zéro = plus d’un million. Tu ne lui demanderas pas comment il a opéré ses additions de cadavres, des cadavres que personne, à commencer par lui, n’a vus ni aperçus. Tu le croiras sur parole. C’est un sacré saint homme ; même parmi les historiens qui ont fini par le critiquer pas un seul n’ose dire que le roi est nu comme ver et que le Père Desbois n’a à son actif rigoureusement aucune découverte de charnier, aucune découverte de cadavre juif ou non juif (sinon quelques cadavres normalement enterrés, par exemple dans le cimetière juif de Busk en Ukraine). À Londres, en 2006, « le rabbin Schlesinger, très âgé » a enseigné au Père Desbois que « les Juifs assassinés par le IIIe Reich étaient des tsadiqim, des saints. En ce sens, leurs sépultures, où qu’elles soient localisées, sous une autoroute, dans un jardin, doivent être laissées intactes afin de ne pas déranger leur quiétude » (Porteur de mémoires / Sur les traces de la Shoah par balles). En Ukraine et en Galicie, terres d’innombrables batailles entre Allemands et Russes pendant la Seconde guerre mondiale, le Père Desbois a eu la surprise de découvrir des douilles de balles allemandes. Il s’est empressé d’en déduire que celles-ci constituaient autant de preuves matérielles de ce que des civils juifs et seulement des Juifs avaient été tués par balles. Doctement, il a prononcé : « Les Allemands n’utilisaient pas plus d’une balle pour tuer un Juif. Trois cents douilles, trois cents balles, trois cents personnes exécutées ici ». Dans la sainte faribole, le Père Desbois dépasse les plus culottés apôtres de tous les temps et de toute la terre : hommage lui en soit rendu. Il nous l’a dit : il est mort bien plus de six millions de juifs. Quand tu liras son chapitre final sur la « Shoah par étouffement » effectuée la nuit avec édredons ou coussins et quand tu prendras la mesure de cette inédite Shoah qui est le comble du massacre spontané des Juifs, tu te retiendras de pouffer et tu te diras : « C’est du gloubi-boulga de la plus sublime espèce. Il nous ferait tout avaler. Voilà comme il faut s’adresser aux chrétiens, ces pigeons à plumer (dans son enfance, avec son grand-père, il plumait et vendait la volaille bressane). Il mérite la Légion d’honneur que lui a agrafée Sarközy-Mallah, et puis le tapis jaune qu’on lui déroule partout dans le monde, et puis les synagogues toutes pleines de chapeaux, et puis les honneurs de la Sorbonne sous la caution du professeur Edouard Husson. Le prix Nobel de la turlupinade et de l’attrapoire attend le Père Desbois. » Amen.
9. Au nom de la Mémoire, toujours tu exigeras plus d’argent et plus de croisades guerrières contre les nouveaux Hitler, qui sont légion avec leurs armes – en fer-blanc – de destruction massive. Des holocaustes tu réclameras, mais des holocaustes de goïm. Répète après moi : « Il nous faut de l’argent, toujours plus d’argent. » Ou bien : « Plus je pleure, plus je palpe ; plus je palpe, plus je pleure ! » Ou encore : « Des guerres, toujours des guerres et encore plus de guerres ! C’est bon pour le Shoah Business et l’Industrie de l’Holocauste ». Yahweh, à ta prière, arrêtera le cours du soleil autour de la terre afin que se prolonge, tout le jour durant, le massacre des goïm. Yahweh reconnaîtra les Siens. Il est beau l’avenir qu’on nous prépare ainsi. Vive l’enseignement obligatoire de la Shoah, à commencer par celui des petits enfants grâce à « la mallette Simone Veil » ! Vive l’endoctrinement spécial des gendarmes, des policiers, des juges, des militaires, des professeurs, des journalistes ! Vive la multiplication des plaques shoatiques sur les immeubles, sur la façade des écoles, sur les monuments ! Vivent les pèlerinages vers Auschwitz à pleins vols charters et autocars ! Vive le chantage auquel ont succombé tant d’institutions comme la SNCF et tant de pays comme la Suisse ! Voulant d’abord résister, certains en ont réclamé des justifications. Mal leur en a pris ! On leur a fort justement rétorqué que de tels réflexes antisémites aggravaient leur cas et qu’il leur fallait remettre sans barguigner les sommes qu’on leur avait fixées. Ils se sont inclinés. Ils ont payé rubis sur l’ongle. Ce qui veut dire qu’on reviendra vers eux pour exiger un surplus de « restitutions, réparations, indemnisations et compensations ». Des Allemands dont les parents n’étaient pas même nés en 1945 verseront au moins jusqu’en 2030 des milliards à des Juifs qui, à ce jour, ne sont pas même encore venus au monde. « Juivre ou mourir » : tel est le mot d’ordre qui devra dicter toutes les conduites. À un si noble idéal, il convient de tout sacrifier, puis, une fois qu’ils auront tout donné, les responsables politiques seront mis en demeure de donner encore plus. Certains goïm penseront de ces Juifs : « Ce n’est pas possible : ils vont tout de même s’arrêter un jour ; ils vont bien finir par se rendre compte qu’ils en font trop ». C’est à ce moment qu’il faudra en faire « plus que trop ». Par notre shuzpah, notre imperturbable aplomb, il nous faudra stupéfier le goy. Prenons exemple sur la France où, grâce à la compréhension de M. Guillaume Pépy, directeur de la SNCF, chaque voyageur qui acquitte le prix d’un billet de train verse par le fait même, sans le savoir, son obole au richissime baron Éric de Rothschild, gardien attitré de la Mémoire de la Shoah. Amen.
10. Ainsi deviendras-tu digne de ceux d’entre nous qui, en 1900, ont inventé la poule aux œufs d’or avec le mirifique coup des Six Millions. Il n’est que temps de le révéler : dès 1900 et peut-être même avant cette année-là, des Juifs de New York ont eu, avec le rabbin Stephen Wise, la géniale idée d’une campagne de retape publicitaire à l’invariable et juteux refrain : « Pour nos six millions de frères en train de mourir en Europe, donnez ! ». Se faisant une spécialité de la publication de ces placards publicitaires, le New York Times pendant les années 1900, 1910, 1920, 1930 a répété ce refrain. En un premier temps, les bourreaux désignés par les Juifs américains ont été les Russes, les Ukrainiens, les Tsars. En un deuxième temps, les bourreaux ont été les Polonais et leurs généraux. En un troisième temps, dans les années 1930, les Allemands et Hitler sont devenus la cible. L’argent coulait à flots pour nourrir une propagande aux dimensions fabuleuses. La haine pour le-peuple-bourreau-des-Juifs montait. La grande croisade contre Hitler se profilait à l’horizon. Encore un effort de propagande, encore plus d’argent pour la propagation de la foi en la démocratie, y compris la démocratie soviétique, et voici, enfin, qu’en 1941 la nouvelle guerre est devenue mondiale. Big Business en perspective. Les États-Unis se doivent d’entrer dans la danse aux côtés d’Uncle Joe. Ils enverront outre-Atlantique leurs boys et leurs flying fortresses phosphoriser les populations civiles, puis atomiser des villes japonaises (en attendant, plus tard, de traiter diverses autres populations au napalm, à l’agent orange, à l’uranium appauvri). La Sainte Alliance de Roosevelt, de Churchill et de Staline multipliera les pieux et rouges mensonges. Voici 1945 : la guerre est gagnée. Le rideau tombe. Il se relève au procès de Nuremberg qui sera le clou d’un spectacle digne de Hollywood et de Broadway : cette fois-ci les Six Millions ne sont plus « en train de mourir en Europe » mais ils sont déclarés tout bonnement morts, tués, anéantis. Toutefois, comment faire avaliser par les juges de Nuremberg ce chiffre de Six Millions de Juifs ? Ce nombre lancinant, la délégation américaine, dont les membres sont juifs à 75% (Procureur général Thomas J. Dodd à Nuremberg dans une lettre intime révélée en 2007), l’avait naturellement en tête depuis toujours. Une solution providentielle se présente en la personne d’un prisonnier allemand menacé d’être livré aux communistes hongrois mais qu’on va faire chanter. Dans les derniers mois de la guerre, le lieutenant-colonel Wilhelm Höttl, qui allait être exclu de la SS pour malversation, s’était abouché avec les Alliés. Il est pris en mains par l’équipe « américaine » de Nuremberg, qui le choie. Höttl fait preuve d’un remarquable zèle. Un beau jour, le 7 novembre 1945, il signe une attestation sous serment selon laquelle son collègue Eichmann lui aurait un jour déclaré, à Budapest en août 1944, soit près de neuf mois avant la fin de la guerre, que déjà deux millions de juifs ont été exterminés à l’Est et quatre millions dans des « camps d’extermination » (Vernichtungslagern). Le propos, entre nous soit dit, est absurde : il contient – signe du faux – un anachronisme puisque, aussi bien, « Vernichtungslagern » n’est que la traduction du néologisme américain « extermination camps », datant de novembre 1944 ; à Jérusalem, en 1961, Eichmann, interrogé au sujet de cette déclaration par le juge d’instruction israélien Avner Less, en parlera comme d’un « salmigondis de salades » (ein Sammelsurium von Durcheinander) inventé par Höttl et Höttl, à son tour, en 1987, finira par admettre qu’il ne fallait pas accorder d’importance à une telle absurdité : Eichmann, dira-t-il, avait parlé sous l’effet de l’ivresse et il souffrait vis-à-vis de Höttl d’un complexe d’infériorité qui le conduisait à exagérer les faits et les chiffres. Heureusement, les juges de Nuremberg avaient fait en sorte que jamais la défense ne pût interroger Höttl et, pour finir, ils étaient allés jusqu’à prononcer dans leur jugement final que les Allemands avaient exterminé six millions de juifs ainsi que l’avait déclaré… Eichmann en personne ! En bon croyant, tu honoreras les milliers de falsifications qui ont été ainsi commises par les magistrats et les historiens. Gloire leur en soit rendue. Sans eux l’édifice entier du Grand et Pieux Mensonge de « l’Holocauste » s’effondrerait. Un devoir tu te donneras pour le restant de tes jours : à l’instar de ces historiens et de ces magistrats, il te faudra tout dire, tout faire, tout inventer pour éviter que ne disparaisse à jamais l’édifice déjà branlant et lézardé de notre très saint et cher « Holocauste ». Yahweh t’en saura gré sinon, selon la parole de David, il te châtiera « avec des flèches barbelées et des braises de genêt ». Il est possible que le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale. La belle affaire ! Contractons cette gale. Prenons soin d’en contaminer, pour le présent, six milliards d’hommes et, pour les générations futures, bien d’autres milliards encore. Faisons que la croûte terrestre en soit à vif jusqu’à la fin des temps. Amen.
PCC : Robert Faurisson, enfin venu à résipiscence le 1er avril 2011