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Il y a dix ans, la capitulation de Jean-Claude Pressac

Financé, en France, par le couple Klarsfeld et, aux États-Unis, par le rabbin Michael Berenbaum (responsable scientifique de l’Holocaust Memorial Museum de Washington), le pharmacien Jean-Claude Pressac avait connu la gloire en 1993-1995, en particulier avec le lancement, à grand fracas, de son livre sur Les Crématoires d’Auschwitz, la machinerie du meurtre de masse, ouvrage édité en 1993 aux frais du contribuable français et sous l’égide du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Le caractère grotesque de sa thèse et de son livre était patent. Néanmoins, à l’époque, historiens officiels et journalistes des grands médias avaient rivalisé dans la louange. En la circonstance, une fois de plus, ils s’étaient déshonorés à vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Dans le camp d’Auschwitz existait ce que les internés appelaient «Radio chiotte»[1]; ailleurs, à la même époque, dans un camp de prisonniers français situé à Ludwigsburg, se diffusait un petit journal interne intitulé « Camp-Cans ».[2] Il est humain que, dans toute prison, dans tout lieu clos, circulent rumeurs, cancans et bouteillons des plus absurdes; et puis cela permet aux anciens de se rendre intéressants, surtout auprès du nouveau venu, par le colportage d’horreurs fictives qui s’ajoutent à des réalités parfois déjà nauséabondes.

Mais il est inadmissible qu’encore aujourd’hui, soixante ans après la guerre, historiens et journalistes persistent avec un tel ensemble à se faire l’écho de pareilles insanités au point même qu’ils donnent l’impression de s’être mis au service d’une «Super Radio chiotte internationale» ou d’un « Super Camp-Cans international ».

En ce qui concerne J.-C. Pressac, ces professionnels de l’histoire et de l’information officielles ont, par la suite, aggravé leur cas en ne soufflant mot d’abord de la déroute de leur héros le 9 mai 1995, à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, puis de l’acte de capitulation qu’il a signé le 15 du mois suivant et, enfin, de sa mort prématurée, le 23 juillet 2003, à l’âge de 59 ans. Se mettant une nouvelle fois à l’unisson, tous les anciens thuriféraires ont respecté l’omerta. Ces mêmes médias qui avaient encensé J.-C. Pressac se sont tous abstenus de signaler, ne fût-ce que d’une phrase, la disparition de leur ancien héros. Dans les deux cas, celui d’une promotion assourdissante et celui d’un silence total, il n’y a eu ni ordre ni orchestration ni consigne ni complot. Quand un sujet comme celui de «l’Holocauste» et des « chambres à gaz nazies » est devenu un tabou, chacun sait la conduite à tenir : ce sera celle de la servilité à l’égard du lobby qui détient la bourse, manie le fouet et qui d’un mot, celui d’« antisémite », peut ruiner votre carrière, votre réputation, votre vie. Sent-on qu’il en plaira au maître, on dansera sur la place ; verra-t-on le maître froncer le sourcil, on rentrera à la maison ou à la niche.

Pourquoi et comment il a capitulé

Il y a donc dix ans, jour pour jour, le 15 juin 1995, Jean-Claude Pressac capitulait, mais le texte de sa capitulation n’a été rendu public – discrètement – qu’en petit caractère et à la toute fin du livre que Valérie Igounet a publié à Paris, en avril 2000, aux éditions du Seuil, sous le titre Histoire du négationnisme en France. Il est à craindre que bien des lecteurs de l’ouvrage n’aient eu qu’un regard distrait pour ces deux demi-pages (p. 651-652) d’un vaste ensemble où V. Igounet laisse la parole au pharmacien. Ces demi-pages sont pourtant d’une importance capitale pour l’histoire de la controverse sur les « chambres à gaz nazies ». J.-C. Pressac y déclare tout bonnement qu’en fin de compte le dossier officiel de l’histoire des camps de concentration nazis est «pourri». Il ajoute même que ce dossier est irrémédiablement « pourri » et qu’en conséquence il est « destiné aux poubelles de l’Histoire » ! Il dresse un véritable réquisitoire contre « la mémoire » qui a « primé sur l’histoire », contre les déformations inspirées par «le ressentiment et la vengeance», contre les communistes et leurs associations, qui se sont faits les gardiens d’une vérité fausse (il n’ose pas pour autant mettre en cause les juifs et les associations juives). Il écrit : « Approximation, exagération, omission et mensonge caractérisent la majorité des récits de cette période ». Il demande : « Peut-on redresser la barre ? » et il répond : « Il est trop tard. Une rectification générale est humainement et matériellement impossible. »

La qualification de « pourri », il la reprend du professeur Michel de Boüard. Ancien interné de Mauthausen pour faits de résistance, cet historien, à la fois catholique et proche des communistes, était devenu, après la guerre, doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de l’université de Caen et membre de l’Institut de France. Au sein du Comité de l’histoire de la deuxième guerre mondiale, il présidait la commission de l’histoire de la déportation. Détenteur de la croix de guerre et de la médaille de la Résistance, il était commandeur de la légion d’honneur. Pour en savoir plus sur ses soudaines déclarations de 1986-1987, qui étaient de nature largement révisionniste, on se reportera, dans mes Écrits révisionnistes (1974-1998), aux pages répertoriées dans l’index sous le nom de Michel de Boüard.

Le revirement soudain de J.-C. Pressac a son explication. Le 15 juin 1995, au moment de signer son acte de capitulation, notre homme était sous le coup de l’humiliation subie le mois précédent, exactement le 9 mai de cette année-là, à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, présidée par Mme Martine Ract-Madoux. Un tintamarre médiatique avait, en septembre 1993, accompagné la sortie de son livre sur Les Crématoires d’Auschwitz. La Machinerie du meurtre de masse. J’avais répliqué par un opuscule intitulé Réponse à Jean-Claude Pressac sur le problème des chambres à gaz. C’est cette réplique précisément qui me valait de comparaître en justice, ce 9 mai, sur le fondement de la loi Fabius-Gayssot interdisant la contestation des crimes contre l’humanité tels que définis et punis par les juges de Nuremberg. Mon avocat, Me Eric Delcroix, et moi-même, nous avions demandé la comparution, à titre de témoin, de J.-C. Pressac, et cela sous la menace d’une contrainte par corps. Pour un compte rendu de cette audience, pour les embarras grandissants du témoin, pour ses comportements de fuite, pour son incapacité à répondre aux questions de Me Delcroix, pour la consternation de la présidente devant un homme qui, les bras au ciel, déclarait qu’on lui en demandait trop, qu’il n’avait qu’une vie, qu’il était seul dans son combat, on se reportera à deux articles de mes Écrits révisionnistes (1974-1998) (p. 1674-1682, Procès Faurisson : Compte rendu de l’audience du 9 mai 1995 et 1683-1693 : Réponse à MSerge Lorach, page par page, alinéa par alinéa).

Les procès qui nous ont été intentés pour délit de révisionnisme, en France comme à l’étranger, ont été exténuants. Nous avons parfois connu le découragement et la tentation de juger inutile tout système de défense digne de ce nom. Mais il faut reconnaître que ces procès ont aussi grandement renforcé notre cause. Nos adversaires refusaient toutes nos offres de débat, toute confrontation publique. Ils claironnaient que leur dossier, celui de « l’Holocauste » ou de la Shoah, était d’une solidité à toute épreuve. Aussi les seuls moments où nous avons pu les contraindre à nous affronter en champ clos et devant le public ont-ils été ces procès qu’ils avaient eu la témérité de nous intenter. En une seule circonstance nos adversaires ont pu donner l’impression de l’emporter sur le plan de la controverse historique ou scientifique. Tel a été le cas avec le procès qu’ils ont récemment gagné, à Londres, contre David Irving. Mais David Irving est tout au plus un semi-révisionniste et il connaît mal l’argumentation révisionniste. Il n’a pas su river son clou à une espèce de sous-Pressac, une sorte d’illuminé rabbinique, le juif Robert Jan van Pelt.[3] D. Irving n’a pas accepté l’offre que lui avait faite un expert comme Germar Rudolf de venir à son secours. Dans tous les autres cas où des révisionnistes ont vraiment su faire front, la confusion de l’adversaire a été manifeste. À ce titre, les deux longs procès d’Ernst Zündel à Toronto, en 1985 et en 1988, ont été exemplaires. Je ne parle pas ici des conclusions judiciaires mais des résultats obtenus par les révisionnistes sur le plan historique ou scientifique avec, d’une part, la déroute des experts et des témoins de la partie adverse et, d’autre part, à l’occasion de ces procès, les contributions significatives des chercheurs révisionnistes à l’avancée de la science historique (en particulier avec le rapport Leuchter sur Auschwitz et Majdanek).

J.-C. Pressac est mort, le 23 juillet 2003, à l’âge de 59 ans. L’homme que les médias du monde occidental avaient salué comme une sorte de génie qui avait, paraît-il, terrassé le révisionnisme en général et Robert Faurisson en particulier a disparu dans la plus complète obscurité : pas un seul organe de cette grande presse qui l’avait tant célébré n’a même signalé sa mort.[4]

Le 15 juin 1995 constitue donc, avec cet acte de capitulation de J.-C. Pressac, l’une des dates les plus marquantes de l’histoire du révisionnisme.

Le texte même de sa capitulation

C’est avec maintes précautions que V. Igounet présentait en annexe de son livre le texte de son « entretien avec Jean-Claude Pressac ». Elle écrivait :

Après avoir effectué un premier entretien avec M. Pressac, ce dernier a estimé qu’il était nécessaire de le remanier entièrement. L’entretien qui suit n’est donc pas une retranscription fidèle de l’enregistrement. Ce texte a été rédigé puis saisi sur ordinateur par Jean-Claude Pressac; nous le reproduisons tel qu’il nous a été remis, sans corrections. Certaines questions n’ont pas été posées par l’auteur [V. Igounet]. Il va de soi que les propos de Jean-Claude Pressac n’engagent ni Valérie Igounet, ni les éditions du Seuil (p. 613).

Une note de bas de page précisait que le copyright du texte revenait à J.-C. Pressac. Dans son « entretien » de près de quarante pages, ce dernier donne d’abord l’impression de développer, non sans y apporter de surprenantes atténuations, ses vues habituelles sur les « chambres à gaz nazies ». Puis on le voit dénoncer ou contester pêle-mêle 1) à propos des gazages homicides «une accumulation de bêtises plus sottes et débiles les unes que les autres, ce qui prouve le pitoyable niveau de la science concentrationnaire, basée exclusivement jusqu’à nos jours sur les “sacro-saints” témoignages » (p. 621) ; 2) « l’histoire communiste du camp [d’Auschwitz] » (p. 625) ; 3) « un fatras de témoignages inexploitables parce que sans critique historique » (p. 627); 4) « l’attitude irrationnelle » de l’historien exterminationniste Georges Wellers (p. 633) ; 5) la loi antirévisionniste [Fabius-Gayssot] (p. 638) ; 6) Pierre Vidal-Naquet qui fait partie de ceux « qui n’y connaissent rien » et qui est comparable à « une girouette creuse » [sic] (p. 641) ; 7) « l’obstination des anciens déportés à défendre des faits ou des chiffres historiquement inacceptables » (ibid.) ; 8) Danuta Czech, du Musée d’Auschwitz, « se rendant coupable de faux historique » (p. 643) ; 9) les dessins et le témoignage de David Olère dont il faisait autrefois si grand cas (p. 649). Puis, il explique que les fours crématoires n’émettaient pas de fumées et qu’on a parfois procédé à « de vulgaires montages photographiques » pour faire croire à de prétendues émissions (p. 648). Enfin, interrogé sur ses projets, il annonce qu’il prépare un livre sur l’entreprise Topf und Söhne, fabricante de fours crématoires, et qu’il y parlera des «chambres à gaz nazies» mais, précise-t-il de manière sibylline, « sous une forme qui reste à définir et avec des résultats inhabituels » (p. 651). L’entretien se clôt sur la question suivante : «Quelles sont vos conclusions sur toute cette affaire ? » Voici, sans autre commentaire, l’intégralité de la réponse de J.-C. Pressac, rédigée, comme de coutume, en un français approximatif :

Michel de Boüard, ancien « Nacht und Nebel » à Mauthausen, a estimé que « le dossier [du système concentrationnaire] est pourri ». D’une part, le ressentiment et la vengeance ont primé sur l’apaisement. Puis la mémoire sur l’histoire. D’autre part, la mainmise des communistes sur les principaux organes de commande dans les camps, la formation après la libération d’associations sous leur contrôle et l’établissement durant cinquante ans d’une histoire des camps « démocratiquement populaire » ont introduit le virus de la langue de bois antifasciste. Approximation, exagération, omission et mensonge caractérisent la majorité des récits de cette période. Le discrédit unanime et sans appel dont sont frappés les écrits communistes ne peut que déteindre sur une expérience concentrationnaire viciée par leurs idées et l’annihiler. – Peut-on redresser la barre ? Il est trop tard. Une rectification générale est humainement et matériellement impossible. Tout changement historique entraîne une dévalorisation de cette mémoire fixe et présentée comme définitive. Or, de nouveaux documents surgiront inévitablement et bouleverseront de plus en plus les certitudes officielles. La forme actuelle, pourtant triomphante, de la présentation de l’univers des camps est condamnée. Qu’en sauvera-t-on? Peu de choses. En effet, magnifier l’univers concentrationnaire revient à résoudre la quadrature du cercle, à transmuter le noir en blanc. La conscience des peuples n’aime pas les histoires tristes. La vie d’un zombi n’est pas « porteuse », d’autant que la douleur subie a été ensuite exploitée et monnayée : décorations, pensions, postes, influence politique. On ne peut à la fois être victime et privilégié, voire bourreau à son tour. – De tous ces faits, terribles parce qu’ayant provoqué la mort de femmes, d’enfants et de vieillards, ne survivront que ceux établis. Les autres sont destinés aux poubelles de l’Histoire (p. 651-652).

C’est sur ces mots et c’est sur ces « poubelles de l’Histoire », appelées à recueillir le dossier « pourri » d’une histoire du système concentrationnaire inspirée par le mensonge et le lucre, que s’achèvent à la fois la confession de J.-C. Pressac et le livre de Valérie Igounet (les pages restantes de l’ouvrage étant consacrées à : chronologie, sources, bibliographie, index et table des matières).

Pressac n’avait pas d’autre issue

Certains naïfs ou faux naïfs seront tentés de rendre hommage à l’individu pour son courage ou sa franchise. Ce serait d’abord oublier les infamies et les bassesses qu’il s’était permises sur le compte des révisionnistes. En réalité, à force de théories grotesques, de faux-bonds, de faux-fuyants, de faux-semblants, de volte-face et de retournements sur lesquels je ne reviendrai pas ici, J.-C. Pressac a fini par se retrouver seul. Non seulement il s’est vu, plus que jamais, traqué par les révisionnistes qui, à l’occasion de chacune de ses nouvelles élucubrations, démontraient sa sottise et ses contradictions, mais aussi, devant ses échecs répétés et ses promesses non tenues, tous les puissants qu’il avait voulu servir lui donnaient son congé et lui supprimaient ses gages. À la fin, il leur avait promis qu’il relèverait le défi révisionniste et qu’à défaut de montrer une « chambre à gaz nazie » il en dessinerait une. Las ! Il s’est finalement rendu compte que le dessin technique de cette magique chambre à gaz était aussi irréalisable sur un ordinateur que ce qu’il appelait lui-même « la quadrature du cercle ». Puis, il avait promis un livre sur les archives de la compagnie Topf und Söhne, mais l’étude de ces archives et des procès intentés après la guerre aux responsables ou au personnel de la compagnie ne pouvait que contredire plutôt que corroborer l’existence des «chambres à gaz nazies». Un tel échec, sur toute la ligne, ne pouvait plus être tenu caché. En pareille situation, le malheureux Pressac n’avait plus qu’à rendre les armes. C’est ce qu’il a fait le 15 juin 1995.[5]

Placés dans une situation identique, pris en flagrant délit de mensonges éhontés, les Raul Hilberg, les Élie Wiesel ou les Claude Lanzmann, eux, ne capitulent pas. Cela s’explique. Ils ont pour eux cet atavique aplomb dans le mensonge qu’en leur langue ils appellent shutzpah et qui manquait au catholique français Jean-Claude Pressac. Et puis, même s’ils se déchirent entre eux à belles dents, ces trois éminents juifs trouveront toujours dans leur communauté de puissants appuis pour les défendre. L’expérience nous l’enseigne: si, par malheur pour elle, une gloire de la littérature holocaustique se trouve un jour publiquement convaincue de mensonge, la règle est la suivante : ou bien il s’agit d’un juif et l’intéressé se tirera d’affaire, ou bien il s’agit d’un shabbat goy, c’est-à-dire d’un non juif qui s’est mis au service des juifs, et il sera livré aux chiens. Jean-Claude Pressac aura connu une destinée comparable à celle d’un Binjamin Wilkomirski – né, en réalité, Bruno Grosjean –, d’une Laura Grabowski – née, en réalité, Laura Rose Wilson –, ou d’un Enric Marco, qui, avec une prodigieuse réussite, s’était, de toutes pièces, pourvu d’une identité et d’une expérience d’ancien déporté.

On peut dire qu’en toute justice Jean-Claude Pressac a mérité son sort.

15 juin 2005

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[1] Raphaël Esrail, secrétaire général de l’Union des déportés d’Auschwitz, « L’évacuation d’Auschwitz », Historiens et géographes, janvier 2005, p. 45.
[2] Louis Charpentier, Stalag V A, Centre d’Entr’aide du camp du Stalag VA, Paris, mars 1944, p. 116. Parlant de la rumeur qui enfle avec le temps et qui prospère, l’auteur en vient à écrire : « Le bouteillon… la nouvelle, elle a profité en vieillissant ». Soit dit en passant, à la page 112 de cet ouvrage figure un dessin montrant deux hommes qui, affublés d’un masque à gaz, sortent d’une « Cabine de désinfection » en portant une tringle aux cintres de laquelle sont suspendus des uniformes après désinfection (de germes infectieux) et désinfestation (de nuisibles). En 1945-1946, ce sont des cabines de ce genre que la propagande des vainqueurs a présentées, par exemple à Dachau, comme des chambres à gaz d’exécution.
[3] « Robert Jan van Pelt, un universitaire nettement inférieur à Pressac aussi bien sur le plan intellectuel que pour ce qui est de sens critique » (Carlo Mattogno, My Memories of Jean-Claude Pressac, The Revisionist, vol. 1, n° 4, novembre 2003, p. 434).
[4] En dépit d’une rumeur insistante, il me faut, une fois de plus, préciser ici que jamais J.-C. Pressac n’a été mon « collaborateur » ou mon « disciple ».
[5] Sur l’amertume des auteurs juifs à l’endroit de J.-C. Pressac, on se reportera à deux de mes pièces datant de 1996 : Le Monde juif contre Jean-Claude Pressac et Pauvre Pressac ! (Écrits révisionnistes (1974-1998), p. 1753-1754).