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Le prétendu “Holocauste” des juifs se révèle de plus en plus dangereux

Les événements actuels du Proche-Orient nous le confirment : le prétendu «Holocauste» des juifs est un mensonge historique qui se révèle de plus en plus dangereux.

Rappelons que ce prétendu « Holocauste », qui est l’épée et le bouclier de l’État d’Israël, possède au moins trois caractéristiques aberrantes :

1) Il a créé des « survivants » (des « miraculés ») par millions. Près de soixante ans après la guerre de 1939-1945, le nombre des « survivants » de cette prétendue entreprise d’extermination de tout un peuple a été estimé à 687 900 par l’expert en démographie des communautés juives, Jacob Ukeles (Haaretz, 18 avril 2004). On peut en déduire qu’en 1945 le nombre des juifs européens qui avaient survécu à la guerre tournait vraisemblablement autour de 3 250 000, ce qui confirme ce que nous savions par ailleurs : jamais les Allemands n’ont eu une politique d’extermination physique des juifs et jamais ils n’ont possédé de ces armes de destruction massive appelées « chambres à gaz » d’exécution ou « camions à gaz » d’exécution. Après la guerre, beaucoup de juifs sont restés en Europe et beaucoup ont essaimé à travers le monde, en près de soixante pays. Aussi est-ce en près de soixante pays qu’à la fin des années 1990 les équipes de l’opération de Steven Spielberg, chargées de recueillir des témoignages de survivants, ont dû se rendre pour y enregistrer sur vidéo lesdits témoignages (Survivors of the Shoah Visual Foundation, POB 3168, Los Angeles, Californie 90078 USA ; voy. aussi un article de Libération du 3 novembre 1999, p. 36). Enfin, actuellement, la population juive de l’Etat d’Israël est proche de… six millions (!) ;

2) Il constitue une arme redoutable pour étouffer, pour écraser et pour tuer ; voy., ci-dessus, le dessin qui m’a été transmis par Ahmed Rami (couverture d’un ouvrage qui, comme un écrit hébraïque, se lirait de droite à gauche ; d’où cette forme de présentation)

3) Il a permis aux sionistes d’obtenir, en 1947-1948, la création d’une colonie au moment même où, partout dans le reste du monde, se défaisaient les colonies. Créée en terre de Palestine, cette colonie est devenue un « État juif », doté d’une «Armée juive». Cet État est raciste, dominateur et sûr de lui-même. Conformément à une tradition plurimillénaire, il a, une fois de plus, permis au peuple juif, – toujours en proie à l’inquiétude du prophète, toujours à gémir, à se plaindre, à pratiquer le chantage, à prêcher guerres et croisades, – de se rendre invariablement odieux partout où il passe.

Fondé sur le mythe de l’« Holocauste », l’État d’Israël est condamné

Dans une étude datée du 8 octobre 2001 et intitulée Un holocauste imaginaire peut conduire à un véritable holocauste, j’écrivais : « […] l’État d’Israël va désormais à sa perte. Il ne durera pas ce qu’a duré l’éphémère royaume chrétien de Jérusalem [soit 89 ans dans les faits] » ; ensuite, parlant du « prochain malheur des juifs », je décrivais déjà ce qu’on voit aujourd’hui se passer pour cet État colonialiste. Les sionistes devront quitter la Palestine. Ils regagneront nos climats. En particulier, ils envahiront l’Allemagne où, déjà, les autorités font un pont d’or aux immigrants juifs de tout pays. Ces juifs errants crieront au « Second Holocauste ». À nouveau ils exigeront repentance, privilèges de toutes sortes et « réparations pour l’irréparable » (bel oxymoron talmudique !). Il faudra donc que ces colons d’un autre âge quittent Jérusalem ; mais sera-ce à la manière des Européens d’Algérie en 1962 ou à celle des Américains, en 1975, au Vietnam ? Que feront les Israéliens de leur arsenal atomique ? À combien la note finale s’élèvera-t-elle pour le reste de l’humanité ? On ne saurait le dire.

En revanche, on est en droit d’affirmer que les événements actuels justifient les mises en garde lancées dans le passé par les révisionnistes. Ces derniers avaient dit que le mensonge de la magique chambre à gaz permettait TOUT et qu’en conséquence il fallait s’attendre à TOUT en matière de démesure juive. Il aurait fallu écouter les révisionnistes au lieu de les jeter en prison ou de chercher à les bâillonner.

Névrose et démesure juives dans le mythe sioniste
et dans le mythe de l’« Holocauste »

Qu’ils appartiennent à l’Etat d’Israël ou à la Diaspora, les juifs, à de trop rares exceptions près comme celles de Noam Chomsky, d’Israel Shahak ou d’Edgar Morin, ont agi avec inconscience et inhumanité. Leur prétendu « Holocauste » leur a permis de calomnier quasiment tous les non-juifs, y compris les Alliés, les Neutres, la Papauté, le Comité international de la Croix-Rouge, tous accusés d’avoir, paraît-il, laissé les Allemands exterminer les juifs européens. Ils ont ainsi accusé des nations entières d’avoir commis ou laissé se commettre un crime gigantesque qui, en fait, n’a jamais été perpétré. De cette diffamation aux proportions immenses ils ont tiré, avec l’avidité et la cruauté de Shylock, une orgie de profits aussi bien financiers et politiques que juridiques et médiatiques. Par ailleurs, ils n’ont su respecter ni le vaincu ni le pauvre. Leur démesure (l’hybris messianique) leur a fait perdre la tête.

Ces juifs-là seraient bien inspirés de méditer ce que, dès 1894, Bernard Lazare écrivait à la première page de son ouvrage sur L’Antisémitisme, son histoire et ses causes et qui peut se résumer en ces termes : puisque, en tout temps, en tout pays, dans toutes les races, sous tout régime, quelles que fussent les mœurs et les coutumes, le peuple d’Israël a suscité « hostilité » et même « répugnance », c’est que « les causes générales de l’antisémitisme [ont] toujours résidé en Israël même et non chez ceux qui le combattirent ».

Jusqu’à présent les révisionnistes ont été traités en Palestiniens, en Libanais ou, pour parler juif, en « semence de bétail » et longtemps le révisionnisme est resté incompris du plus grand nombre, mais voici qu’aujourd’hui on se met enfin à le comprendre. Des millions d’hommes, des peuples entiers, témoins de ce qui se passe au Proche-Orient, prennent conscience, devant leurs appareils de télévision, de la névrose et de la démesure juives. Du même coup ils découvrent ou s’apprêtent à découvrir, stupéfaits, qu’à la source des récits mensongers, pleins d’extravagances et de haine, qui composent ce que les juifs appellent leur « Histoire de l’Holocauste », il y avait déjà cette même névrose et cette même démesure.

Lubies, extravagances et toquades juives promises aux poubelles de l’histoire

« Le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale » (Céline). L’homme, on ne le sait que trop, est sujet à d’invraisemblables engouements. Il va jusqu’à tuer ou se faire tuer pour des idées dont il finit quelquefois par découvrir qu’elles étaient fausses. Le commerce des armes, des guerres, des croisades et de la propagande médiatique fait ses délices de ces idées fausses. Aux XIXe et XXe siècles les talmudistes ont ainsi leurré des milliards d’hommes. Freudisme, sionisme, communisme à la Lénine ou à la Trotsky, religion holocaustique à la Élie Wiesel ou Shoah Business à la Claude Lanzmann, toutes ces inventions ont été fondées sur un mélange d’idées fausses, d’utopies messianiques et d’impostures essentiellement juives. Après avoir connu le triomphe, le freudisme (à ne pas confondre avec la psychothérapie et la psychiatrie) et le léninisme (à ne pas confondre avec l’idéal communiste) sont aujourd’hui largement discrédités. Ainsi qu’on le voit de nos jours, le sionisme, lui, mène à l’autodestruction et pourrait entraîner une catastrophe à l’échelle du monde entier ; les Israéliens l’ont tué. Quant à la religion de l’«Holocauste» et au Shoah Business, ils paraissent florissants, mais, comme l’a noté le révisionniste américain Arthur Robert Butz, le géant a des pieds d’argile, et cela commence à se voir.

Ces lubies, extravagances et toquades, qui portent la marque de la névrose et de la démesure juives, sont appelées à finir un jour dans les poubelles de l’histoire. Mais, pour ce qui est de l’« Holocauste », ce jour-là est encore loin, tant il est vrai que le Grand Mensonge du XXe siècle a imprégné les esprits, telle une drogue mortelle dont on finit malheureusement par dépendre. Heureusement les révisionnistes sont là, qui, en bons « judéo-thérapeutes » (le révisionniste français Pierre Guillaume), n’ont pas leurs pareils pour soigner la dépendance au poison du mensonge holocaustique. En la matière, pour recouvrer la raison et la santé, rien ne vaut donc une simple cure de révisionnisme.

26 juillet 2006