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Un holocauste imaginaire peut conduire à un véritable holocauste

Sans le mensonge du prétendu « Holocauste » et des prétendues «chambres à gaz», l’Etat d’Israël n’existerait pas et la paix s’en porterait mieux. Avec ce faux «Holocauste», qui est devenu l’épée et le bouclier de l’Etat d’Israël, la paix est en danger. C’est ainsi qu’un holocauste imaginaire, créé et entretenu aussi bien par les sionistes d’Israël que par les juifs de la Diaspora, peut conduire à un véritable holocauste aux dimensions planétaires.

 

Les juifs et les Américains

En 1947-1948, se présentant comme les survivants d’un prétendu génocide, les juifs obtinrent, par le chantage et le terrorisme, le droit de créer un Etat en terre de Palestine. Avec aplomb, ils firent valoir auprès de la communauté internationale qu’à une tragédie sans précédent (leur supposé « Holocauste ») il convenait d’apporter, en compensation, un remède sans précédent : la dévolution à leur profit de terres appartenant à d’autres populations. Puis, forts de cette donation exorbitante, ils étendirent considérablement leur domaine, à l’occasion de guerres chroniques, sans tenir compte des restrictions que l’Organisation des Nations unies avait prévues en faveur des Palestiniens, restrictions que les sionistes s’étaient pourtant engagés à respecter. En cinquante ans, avec l’aide de la Diaspora juive, ils menèrent, aux dépens du peuple palestinien, une politique de conquête coloniale et d’apartheid. Ils violèrent l’une après l’autre les conventions internationales en tenant pour nulles et non avenues une soixantaine de résolutions de l’ONU qui les contrariaient. Les dirigeants politiques américains ont soutenu, armé et défendu Israël aussi chèrement que si cette entité avait constitué le premier Etat des Etats-Unis d’Amérique. Il faut dire qu’ils ne pouvaient se permettre de défier leur lobby juif, lequel contrôle et surveille de près tout le personnel politique ainsi que tous les grands médias du pays. Au demeurant, la plupart des Américains, intoxiqués de propagande holocaustique, ne sont que trop enclins à retrouver dans les inventions de la névrose juive leurs croyances en un monde fait de deux camps : celui des bons (juifs et associés) et celui des méchants (nazis et assimilés). Pour eux, tout se juge à l’aune du nazi, scélérat idéal, qui ne songe qu’à tuer le pauvre juif, parangon d’innocence et de bonté. Ce n’est pas pour rien que l’Holocaust Memorial Museum dresse sa masse hideuse à proximité du monument de George Washington, non loin du Capitole.

Les Arabes et les musulmans

Les juifs ont fini par lasser la patience du monde arabe et musulman. Dans leur longue histoire, ils s’étaient, au cours des siècles, rendus indésirables chez tous les peuples d’Europe qui les avaient accueillis en grand nombre, en particulier chez les Anglais, les Français, les Espagnols et, surtout, chez les Allemands et les Polonais. A ces peuples, jusqu’à ces derniers temps, on faisait volontiers la morale en leur donnant pour exemple de tolérance (relative) le comportement séculaire des Arabes à l’égard des juifs. Or, voici que la leçon n’est plus possible. Il n’y a plus d’exception arabe : même leurs frères sémites maintenant s’insurgent contre le peuple juif, «dominateur et sûr de lui». Au sein de la communauté juive, il s’est bien trouvé çà et là quelques esprits clairvoyants comme Noam Chomsky et le défunt Israël Shahak, l’auteur de Histoire juive / Religion juive – Le poids de trois millénaires, pour lancer des mises en garde aux zélotes mais ils n’ont pas été écoutés. Il est vrai que Chomsky et Shahak ont toujours cautionné le grand mythe juif, autorisant ainsi Israël à employer en toute tranquillité d’esprit le meilleur de ses arguments et l’arme n°1 de son arsenal : « l’Holocauste » précisément. Les Arabes, les musulmans et le peuple de Palestine tout entier sont les principales victimes, aujourd’hui, de cette arme et de cet argument forgés par le mensonge.

La nouvelle croisade

Le 11 septembre 2001, en particulier à New York, les faibles ont frappé la citadelle des forts. Le cœur de la puissance judéo-américaine, le district même de Wall Street, où se fait et se défait le sort de milliards de pauvres, a été atteint de plein fouet par des « terroristes » assez courageux pour sacrifier leur vie dans une entreprise suicidaire.

A New York, la première tour du « Centre du commerce mondial » (tout un programme dans ce titre !) aurait pu s’appeler « Hambourg » ou « Hiroshima » et la seconde, « Dresde » ou «Nagasaki». Mais leur destruction semble n’avoir provoqué, selon diverses estimations, que de trois à cinq mille morts, ce qui nous met bien loin des prouesses destructrices de l’US Air Force et de la Royal Air Force au début des années quarante.

Là-dessus, l’Amérique, une fois de plus, est partie en croisade. Déjà, au début de ces années quarante, le général Eisenhower, qui, en récompense, allait devenir après la guerre président des Etats-Unis, avait lancé une « Crusade in Europe ». Cette entreprise militaro-industrielle allait se révéler extrêmement fructueuse pour les Etats-Unis (« The Best War Ever ») mais, pour les Européens, elle se soldait par des millions de morts, par d’immenses destructions et par la remise au Moloch russo-soviétique d’une bonne partie du continent. Cette « libération » de l’Europe s’accompagnait, au surplus, d’une atroce épuration, de la déportation meurtrière de douze à quinze millions d’Allemands, d’éhontées razzias, du démembrement de tout un grand pays, d’une totale occupation militaire, du règne de la censure et de l’instauration de tribunaux où les vainqueurs, juges et parties, se permettaient de juger les vaincus en de véritables mascarades judiciaires. Encore aujourd’hui, en 2001, des procès de ce type permettent aux enfants d’Israël d’exercer leur vengeance, de génération en génération. Il n’est que de voir les actions intentées, plus de cinquante ans après la guerre, contre des octogénaires ou des nonagénaires, accusés, sur simples témoignages juifs, de « crimes contre l’humanité ».

Les croisades antérieures

En riposte aux attaques qu’elle a subies, l’Amérique, cette fois-ci, va se faire «justice sans limites» en massacrant des civils pour la vingtième fois en soixante ans. De 1941 à 2001, pas un corps de bataille n’aura tué ou brûlé plus de civils, plus d’enfants, plus de nourrissons que l’armada aérienne constituée tout ensemble par l’US Army, l’US Air Force et l’US Navy, parfois accompagnées de leur alliée, la RAF. Les champions du phosphore, du napalm, de l’agent orange, de la bombe à fragmentation, du feu nucléaire, de l’uranium enrichi ou appauvri vont aujourd’hui infliger à des pays misérables des leçons de droit, de justice, de vertu et de « liberté immuable » comme ils l’ont fait, jadis et naguère, à Berlin, à Hambourg, à Dresde, dans toute l’Europe (67 000 tués pour la « libération » de la seule France), au Japon, en Corée, au Vietnam, en Iran, en Irak, en Libye, au Soudan, en Ethiopie, en Somalie, au Nicaragua, au Salvador, à la Grenade, au Panama, en Yougoslavie et ailleurs. En l’espace de soixante ans, les Américains, qui sont par ailleurs les plus grands pollueurs industriels de la terre, ont truffé le globe terrestre de milliards de bombes, d’obus, de missiles et de mines, en particulier de mines antipersonnel, si redoutables pour les civils. Soucieux – et c’est compréhensible – d’épargner leurs propres soldats, les responsables du Pentagone sont amenés à choisir, le plus souvent, un mode de combat particulièrement lâche. Larguant des bombes à haute altitude, lançant des fusées à de longues distances, semant la terreur dans les populations civiles désarmées, ils recherchent depuis quelques années « la guerre à zéro mort », ce qui, selon la formule du révisionniste français Vincent Reynouard, revient en fait à pratiquer une guerre où, d’un côté, on a zéro mort au combat, ou peu s’en faut, tandis que, de l’autre côté, les morts comptent pour zéro. Installés sur des porte-avions ou dans des bases militaires bien éloignées du front, les boys, mastiquant leur chewing-gum et absorbant cacahouètes et boissons gazeuses, sèment la mort au loin dans le plus grand confort.

Le véritable holocauste des villes allemandes

Par comparaison avec le martyre des villes allemandes il a été enviable le sort des fugitifs de Manhattan juste après la destruction des deux tours. Ces gens ont quitté les lieux du désastre sans qu’on les mitraille. A la différence des Allemands de 1942-1945, affamés, épuisés par le manque de sommeil, chaque jour accablés par l’annonce de la mort des leurs, en particulier sur le front russe, ils n’ont pas été transformés en torches vivantes ciblées par des chasseurs bombardiers. Les victimes, elles, du carpet bombing, s’enfuyaient les vêtements et les cheveux en flammes. Elles se jetaient à l’eau. Les flammes s’éteignaient d’abord mais, dès que les malheureux sortaient de l’eau, elles reprenaient. Ainsi le voulait le phosphore. Les derniers survivants expiraient la peau du palais cloquée par la chaleur de l’air ambiant. Quant aux pompiers et aux secouristes, il leur arrivait de mourir sous l’effet de bombes à retardement.

Les vaines leçons du passé

En ce septembre noir, le peuple américain a pu se faire une idée, une faible idée à vrai dire, de ce qu’il a infligé à tant de peuples durant tant d’années. Au Vietnam, il avait connu une humiliante défaite au terme d’une guerre qui lui avait valu le retour de 56 000 bodybags. Il semblait avoir tiré quelques leçons sur ce qu’il en coûte de mépriser les petits, les faibles et les pauvres. La France et la Grande-Bretagne avaient, de leur côté, connu des humiliations identiques avec la dislocation de leurs empires coloniaux et paraissaient, elles aussi, en avoir retenu quelques enseignements. Or, voici que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, pris de frénésie guerrière, oublient les leçons de leur plus récente histoire.

Le terrorisme magnifié par ceux qui s’en plaignent

Il est cocasse de voir les puissants dénoncer le terrorisme de leurs adversaires. Non seulement ces puissants ont inventé le terrorisme à grande échelle mais ils l’ont même préconisé, loué et sublimé sous le terme de « résistance ». Roosevelt, Churchill, de Gaulle, Tito et leur ami Staline ont, à des degrés divers, organisé une politique d’assassinat, par leurs francs-tireurs, de soldats et de civils ennemis. Ils ont froidement provoqué des représailles, conformes aux dispositions des conventions internationales, pour que le crime nourrisse le crime. Ils ont, au XXe siècle, institutionnalisé la guerre de l’ombre, la guerre des lâches. Certes, l’esprit de résistance est une vertu mais non sous cette forme-là. Et que dire du terrorisme des fondateurs de l’Etat sioniste assassinant, par exemple, Lord Moyne, le comte Folke Bernadotte et tant d’autres ? Un modèle, paraît-il, de combat pour une juste cause.

Au bonheur des juifs

En bail emphytéotique, les deux tours commerciales de New York (« Jew York ») appartenaient à Larry Silverstein qui, n’en doutons pas, percevra de grasses «réparations». Sa coreligionnaire Madeleine Albright, fille d’un voleur juif du nom de Körbel, avait, en 1996, estimé que, si la politique américaine à l’égard de l’Irak avait entraîné la mort de 500 000 (?) enfants irakiens, cela en avait « valu la peine » («The price… was worth it»). L’Israélien Nétanyahou, lui, n’a pu dissimuler sa joie en apprenant la destruction des tours et la mort de milliers d’Américains : la nouvelle était bonne pour les juifs car l’Amérique comprendrait ainsi que ses intérêts et ceux des Israéliens étaient identiques. Quant à Sharon, le boucher et le bouteur de feu, il y voyait, avec l’accord de Shimon Peres, une occasion propice aussi bien à sa politique de création de colonies juives dans la fourmilière arabe qu’à son programme d’assassinats systématiques. Pour l’instant, les Etats-Unis lui permettent encore de tuer pêle-mêle des adultes et des enfants palestiniens avec des balles, des obus, des missiles, des chars, des hélicoptères et des avions payés par le contribuable américain.

Le prochain malheur des juifs

Américains et Israéliens ont tout loisir de continuer ce jeu. Mais il pourrait leur en coûter. Car l’Etat d’Israël va désormais à sa perte. Il ne durera pas même ce qu’a duré l’éphémère royaume chrétien de Jérusalem. Il n’est nul besoin d’un Ben Laden ou d’un nouveau Saladin. Ni armes, ni argent, ni les Etats-Unis, ni les juifs de la Diaspora, ni l’Allemagne qui, en proie à son néo-masochisme, serait capable de sacrifier ses soldats pour la survie de l’Etat-sangsue, n’empêcheront « la Descente ». (Les Hébreux appellent ainsi le mouvement contraire à celui de « la Montée » en Terre promise). Déjà ils quittent le vaisseau. A Tel Aviv, à Jérusalem et dans leurs colonies de peuplement, pères et mères de familles juives s’alarment pour leur propre vie, pour celle de leurs enfants, pour leur avenir professionnel ou leur business. La lourdeur des impôts nécessaires au budget de l’armée israélienne ainsi que la longueur et les dangers du service militaire, pour les hommes comme pour les femmes, font que se raréfient, par le phénomène de rémigration, le nombre des contribuables et des mobilisables. La Terre promise devient pour les juifs l’endroit le plus précaire du globe. Elle avait été un havre de grâce pour les escrocs et les voleurs, en particulier pour cette maffia appelée « russe » alors qu’elle est judéo-russe. Rarissimes avaient été les extraditions autorisées par l’Etat hébreu en direction des pays qui réclamaient Flatto Sharon et ses émules. Or, aujourd’hui, les tribunaux français constatent que, dans la gigantesque « affaire du Sentier », des aigrefins partis se réfugier en Israël préfèrent regagner la France, quitte à y passer en jugement et à s’y voir emprisonner. Là où devaient couler le lait et le miel coulent le sang et les larmes. A qui la faute ?

Entre la valise et le cercueil

Le juif errant reprend donc sa route. A peu près partout où il est passé, son comportement a provoqué la révolte des indigènes, qui l’ont finalement sommé de choisir entre la valise et le cercueil. Aujourd’hui, en Palestine, il va lui falloir choisir la valise. Il regagnera les pays riches qu’il a intoxiqués avec sa propagande holocaustique. Il lui suffira alors de crier au second « Holocauste » et à la troisième Destruction du Temple. Il exigera nouvelles réparations et nouveaux privilèges. «Shoah Business» et « industrie de l’Holocauste » reprendront de plus belle mais, cette fois-ci, avec des risques de saturation.

Dans le cas d’un scénario de catastrophe, on pourrait assister en Israël à une guerre civile avec une sorte d’OAS regroupant ses desperados. En définitive, Tel Aviv pourrait connaître le sort d’Alger en 1962 et la Jérusalem juive, celui de Saïgon en 1975. Mais une fin moins dramatique semble également possible comme, par exemple, celle de l’Allemagne communiste ou de l’empire soviétique. En tout état de cause, l’épicentre du conflit actuel se situe en Israël, et Israël est perdu.

Les propagandes guerrières

Le sort des Palestiniens de toute confession sera tragique. Il provoquera de plus en plus le désespoir et le fanatisme. Les masses des pays arabo-musulmans aspirent déjà à châtier l’Occident pour les crimes que, dans leur esprit, celui-ci a commis ou laissé commettre en Palestine (plus qu’en Arabie saoudite, en Irak ou en Afghanistan). De leur côté aussi se développe par réaction un esprit de croisade ou de guerre sainte. Ayatorahs et ayatollahs se suscitent les uns les autres. De part et d’autre, chez les forts et les riches de l’Occident comme dans les populations démunies du monde arabo-musulman, les passions et les craintes s’exacerbent. On va beaucoup tuer et beaucoup mentir. Le prodigieux mensonge du prétendu «Holocauste» des juifs, épée et bouclier d’Israël et de la Diaspora, peut ainsi conduire à un holocauste bien réel aux dimensions du globe. Les auteurs révisionnistes, eux, avaient depuis beau temps prévenu que la religion du faux «Holocauste» avec ses « chambres à gaz » imaginaires et ses prétendus « Six Millions » contenait un redoutable ferment de haine. Les événements actuels font craindre que cette haine ne finisse par mettre le feu au monde et ne provoque pour le coup un holocauste planétaire.

La vigilance des révisionnistes

Les révisionnistes suivront l’exemple de Paul Rassinier, qui fut le premier d’entre eux. Réfractaires à toute propagande guerrière, ils viseront à l’exactitude là où l’émotion nourrit, de part et d’autre, le mensonge. Ils éviteront de colporter les inventions de la propagande anti-américaine, anti-juive ou anti-arabe et, par exemple, à propos du 11 septembre, ils devront nous épargner les ragots, habituels en pareil cas, du type : « Bush savait », « La CIA ne pouvait ignorer », « Le FBI est dans le coup », « Le Mossad a tout fomenté », « Quatre mille juifs, qui auraient dû être à leur travail ce jour-là, n’y étaient pas », « Dans les deux tours on avait dissimulé des charges explosives », etc. La propagande arabe, plus que jamais, orchestrera les mythes du juif saigneur d’enfant ou empoisonneur de puits et invoquera le faux, pourtant manifeste, que constituent Les Protocoles des sages de Sion. On peut s’attendre à bien d’autres rumeurs, délires, psychoses et phénomènes de croyance collective. Les Américains vont minimiser le nombre des victimes de leurs bombardements et les Afghans l’exagérer. Dieu ou Yahweh, d’un côté, et Allah, de l’autre, seront mis à contribution ainsi que leurs prophètes pour attiser les haines et les peurs. On verra pulluler faux témoins, faux reportages, fausses interviews, faux documents. Peut-être Bush fils surpassera-t-il, en ce domaine, Bush père avec son histoire de couveuses débranchées par les Irakiens au Koweit. On fabriquera d’autres accusations pour fomenter d’autres guerres. La censure, bien entendu, s’aggravera sans même que les gouvernements aient besoin de légiférer en la matière.

L’union sacrée des puissants

En France, d’entrée de jeu, Le Monde, journal oblique, a opéré sa soumission. Sous la signature de son directeur, le courbe et moite Jean-Marie Colombani, il a lancé : «Nous sommes tous Américains». En un tournemain, la France s’est retrouvée en état de guerre. Elle en a l’habitude. Son gouvernement actuel est de gauche. Une tradition chère à la gauche qui, comme chacun sait, a le monopole du cœur et de l’intelligence, est de plonger le pays dans la guerre sans consultation préalable ni décision du Parlement. C’est bafouer la loi, la constitution, mais qu’importe ! Cela permet au Français de se coucher en paix et de se réveiller en guerre. Pour être juste, rappelons que le président de la République, ancien communiste devenu gaulliste, se sent encore plus guerrier et américain que son premier ministre, chef d’une coalition socialo-communiste. Une sorte d’union sacrée s’est forgée contre le pelé, le galeux d’où venait tout le mal : Oussama Ben Laden, puisqu’il faut l’appeler par son nom. Autrefois, il se nommait Adolf Hitler. Ce dernier n’avait-il pas commis un crime inexpiable en touchant à l’or, aux juifs et au communisme ? Il avait poussé l’audace jusqu’à refuser l’étalon or. Il s’en était si bien porté que son nouveau système économique lui avait permis de multiples échanges avec des pays également pauvres en or, notamment l’Italie, le Japon ainsi que des nations d’Europe centrale et d’Amérique latine. La panique avait saisi la Grande-Bretagne, la France et les Etats-Unis : l’Allemagne chassait sur leurs terres et leur prenait leurs marchés. Les riches (en or) n’apprécient jamais la révolte, la coalition et la réussite des pauvres (en or). A la fin des années trente, les trois riches, qui se disaient liés par un même système démocratique, étaient surtout enchaînés les uns aux autres par une chaîne d’or. Après la guerre, en 1947, L. Genet et Victor-L.Tapié pouvaient, dans leur Précis d’histoire contemporaine, 1919-1939 (Hatier édit.), reproduire la citation suivante : « Ce n’est donc pas un lien idéologique mais une chaîne d’or qui lie entre elles les grandes démocraties » (p. 206) avant d’ajouter : « Six ans d’autarcie ont fait de l’Allemagne le plus grand pays industriel du monde » (p. 209). Plus que d’autres encore, les financiers juifs avaient ressenti l’offense : comment cela, on pouvait se passer d’eux et de leur or ?! Quant à la Russie communiste, elle voyait Hitler réaliser dans les faits le programme social auquel elle aspirait. Le téméraire dictateur allait payer cher ses audaces, et cela d’autant plus qu’avec l’inconscience du joueur à qui tout semble réussir il cherchait à forcer la chance en d’autres domaines. Survint alors la catastrophe, pour l’Europe et l’Asie, de la seconde guerre mondiale.

Actuellement, la nouvelle union sacrée des démocraties occidentales et de la Russie contre le nouveau trouble-fête augure mal de l’avenir. Sous les dehors habituels de la générosité et du désintéressement, les Etats-Unis vont se montrer féroces à l’égard de masses arabo-musulmanes qui mettraient en péril à la fois les ressources de l’Oncle Sam en matières premières, son commerce mondial (le World Trade) et son économie. Invoquant leur cher « Holocauste » et la nécessité d’éviter un second «Holocauste», les juifs ne seront pas moins féroces à l’égard des Palestiniens. Les Russes, eux, écraseront toute velléité d’indépendance de leurs minorités musulmanes ; moyennant quoi, plus que jamais, ils tendront la sébile aux Américains.

La seule chance de la paix

La seule chance de la paix réside dans l’esprit de résistance aux mensonges des diverses propagandes. Or, pour l’heure, la plus dangereuse de ces propagandes n’est pas celle des pauvres. Elle est celle des riches, des puissants et de leurs serfs, tous capables, s’ils se croient réellement menacés, de mettre le feu au monde. Elle est celle des névrosés du faux « Holocauste ». Elle est celle des juifs, des Américains et de leurs obligés.

Si les révisionnistes avaient été entendus, la religion du faux « Holocauste » des juifs aujourd’hui n’aurait plus cours. Elle n’alimenterait pas la sympathie d’une grande partie du monde occidental pour l’entreprise sioniste. Elle ne justifierait pas l’indulgence générale pour les crimes du sionisme. La Diaspora ferait montre de moins d’arrogance. Pour commencer, l’Etat d’Israël n’existerait pas.

Le mensonge historique nourrit tout à la fois la haine, l’esprit de croisade et la guerre. Le retour à l’exactitude historique favorise la réflexion et la paix.

8 octobre 2001