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The orthodox historians’ disputing of the Nuremberg judgment

In France, the Fabius-Gayssot Act of July 13, 1990 forbids the disputing of the existence “of crimes against humanity” as defined and punished, just after the war, by the International Military Tribunal at Nuremberg (1945-1946). This prohibition, which targets the revisionists, is all the more improper as the orthodox authors, for their part, have carried out…

Contestations du jugement de Nuremberg par les historiens orthodoxes
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Contestations du jugement de Nuremberg par les historiens orthodoxes

La loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 interdit la contestation de l’existence des « crimes contre l’humanité », tels que définis et punis, juste après la guerre, par le Tribunal militaire international (TMI) de Nuremberg. Des vainqueurs jugeant des vaincus ont, sans aucun recours à des historiens, déclaré conformes à la vérité historique un certain nombre d’affirmations…

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Correspondance entre Robert Faurisson et Paul Rassinier (1964-1967)

Nous reproduisons ci-dessous le texte de 15 lettres de la correspondance échangée par Robert Faurisson et Paul Rassinier au cours des années soixante. Il ne nous a malheureusement pas été possible de retrouver davantage de lettres. Robert Faurisson et Paul Rassinier ne se sont jamais rencontrés physiquement. Le premier n’a jamais manqué de rendre hommage…

Pierre Milza, “historien” sans preuves ni arguments
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Pierre Milza, “historien” sans preuves ni arguments

Pierre Milza est un spécialiste de l’histoire des fascismes italien et français. Il a, sur le sujet, publié des ouvrages en collaboration avec Marianne Amar et Serge Bernstein. A-t-il, pour autant, le droit de se parer du titre d’historien ? Peut-être, mais à la condition de prévenir ses lecteurs qu’il est un historien fortement engagé…

Procès Amaudruz à Lausanne : ce que j’aurais dit, à la barre, sous serment
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Procès Amaudruz à Lausanne : ce que j’aurais dit, à la barre, sous serment

Je n’ai pas été autorisé à venir témoigner au procès de Gaston-Armand Amaudruz qui, le 10 avril 2000, a été condamné par le tribunal correctionnel du district de Lausanne à un an d’emprisonnement ferme et à toute une série de peines, financières et autres. La raison invoquée pour le condamner a été celle du délit…