Forfaiture du Comité des droits de l’homme de l’Office des Nations Unies à Genève
Le Comité des droits de l’homme de l’Office des Nations Unies à Genève estime que la France n’a pas violé mes droits en me condamnant, sur le fondement de la loi Gayssot, le 9 décembre 1992 (arrêt Françoise Simon) pour mon interview du Choc du mois (de septembre 1990). Il cautionne la thèse – aujourd’hui devenue insoutenable…