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La phrase de soixante mots !

« Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier ».

Prononcée en 1980, « la phrase de soixante mots » résumait alors et résume encore en 2011 le résultat des découvertes révisionnistes sur ce qu’on appelle « l’Holocauste des juifs » ou « la Shoah » (en anglo-américain, « Shoa »). Aucun de ces soixante mots ne m’a été inspiré par une opinion politique, religieuse ou autre. Chaque mot ou groupe de mots a été pesé. Pour prendre un exemple, l’expression de « mensonge historique » ne signifie pas que, pour moi, ceux qui croient en « l’Holocauste » ou en « la Shoah » sont des menteurs ; ils sont simplement des croyants. Certes, en la matière, il y a eu, au début, des menteurs et aujourd’hui encore il ne manque pas, çà et là, de menteurs et de faux témoins, mais, par la suite, au fil du temps et de l’histoire, il s’est trouvé, en nombre croissant, des foules d’honnêtes gens qui, de bonne foi, ont repris à leur compte un ensemble toujours plus riche d’inventions fallacieuses remontant aux années de la guerre et de l’immédiat après-guerre.

Il n’y a eu là, à proprement parler, ni complot ni conjuration pour abuser qui que ce fût mais seulement une entente de bon cœur et une sorte d’émulation pour accepter comme véridique et bouleversant un ensemble de rumeurs, de témoignages, de pieux mensonges que personne ne songeait à vérifier par des enquêtes et par des recherches de preuves matérielles. De la même façon, on n’a pas menti en vue d’escroquer mais, une fois que la religion de « l’Holocauste” ou de « la Shoah » a commencé à prospérer, d’habiles personnalités juives et sionistes comme Nahum Goldmann et Stephen Wise ont entrepris d’édifier tout un système d’escroquerie politico-financière qui, plus tard, allait engendrer ce que certains juifs appellent eux-mêmes « l’Industrie de l’Holocauste » et « le Shoa Business ».

Les révisionnistes, eux, ne se sont pas contentés d’entendre, de croire et de se laisser émouvoir. Ils ont voulu voir, revoir, vérifier et revérifier. Soucieux d’exactitude, ils ont conclu de leurs recherches et de leurs découvertes que, si les juifs ont effectivement souffert, comme bien d’autres, de la persécution et de la guerre, ils n’ont jamais fait l’objet d’une politique d’extermination physique impliquant, en particulier, un ordre de les tuer, un plan, un budget, des camps d’extermination, des chambres à gaz, des camions à gaz ou d’autres moyens de tuerie systématique.

Dans cette phrase de soixante mots j’ai précisé quels étaient les principaux bénéficiaires et les principales victimes des conséquences de ce mensonge historique. Je n’ai pas cru possible d’énumérer les autres bénéficiaires et les autres victimes : leur nombre est incommensurable ; il s’accroît avec le temps.

Il faut que cessent ce mensonge historique et les calamités qu’il entraîne avant qu’au nom d’un Holocauste de fiction on ne finisse par entraîner l’humanité entière dans une troisième guerre mondiale qui, pour le coup, pourrait devenir un réel et définitif Holocauste.

Voyez : Interview de Robert Faurisson par le journaliste Ivan Levaï (Radio Europe n° 1) (17 décembre 1980) ; Un holocauste imaginaire peut conduire à un véritable holocauste (8 octobre 2001).

24 juin 2011