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Douze questions de Robert Faurisson

Le professeur Robert Faurisson a posé toute une série de questions très simples auxquelles on s’est montré incapable de répondre. Voici quelques-unes de ces questions :

    1. Montrez-moi un ordre venant de Hitler ou de quelque autre Allemand de tuer les juifs ;
    2. Montrez-moi un plan,
    3. Montrez-moi un projet,
    4. Montrez-moi une instruction,
    5. Montrez-moi un budget pour une telle entreprise
    6. Montrez-moi une chambre à gaz homicide que vous me garantirez authentique ou, si vous prétendez que les Allemands ont pris la précaution, à la fin de la guerre, de détruire ces chambres à gaz, montrez-moi à l’aide d’un dessin technique à quoi cette arme de destruction massive pouvait ressembler et comment elle fonctionnait ;
    7. Montrez-moi un camion à gaz homicide,
    8. Apportez-moi une expertise de l’arme du crime,
    9. Présentez-moi une preuve, une seule preuve, de votre choix (et surtout pas une multitude de preuves),
    10. Présentez-moi un seul témoin ou un seul témoignage, de votre choix,
    11. Expliquez-moi comment il se fait que des millions de juifs européens, y compris des bébés, ont survécu à la guerre alors que les Allemands auraient pu les tuer,
    12. Expliquez-moi comment il se fait que des tribunaux militaires allemands aient condamné à mort et fait fusiller des militaires ou des civils allemands coupables d’excès envers des juifs …

Le professeur Faurisson n’a jamais reçu de réponse à ces questions ni à des douzaines d’autres questions du même genre. En outre, il a prouvé que des quantités de documents et de photographies fournis par l’accusation n’avaient pas du tout le sens qu’on leur prêtait.  On lui a répondu par des agressions physiques, l’interdiction d’enseigner et, surtout, par des poursuites. Mais les procès n’ont pas vraiment pris la tournure espérée par ses accusateurs. Bien sûr, le professeur a été condamné, par exemple, pour « dommage à autrui » mais jamais, comme le demandaient les associations juives et autres, pour « falsification de l’histoire ». Au contraire, le 26 avril 1983, la première chambre de la cour d’appel de Paris l’a condamné en rendant un hommage appuyé à la qualité de son travail sur ce que la cour a appelé « le problème des chambres à gaz ». Cette cour a conclu que, dans le travail du professeur, il n’y avait aucune trace de légèreté, de négligence, d’ignorance délibérée ou de mensonge et qu’en conséquence tout le monde désormais devait avoir le droit d’affirmer que les chambres à gaz n’avaient pas existé. Dans le langage des magistrats, cela donnait exactement : « La valeur des conclusions défendues par M. Faurisson [sur le problème des chambres à gaz] relève DONC de la seule appréciation des experts, des historiens et du public ». Les juifs savaient aussi que le professeur avait été, sur le plan historique et scientifique, l’inspirateur et l’organisateur de la défense d’Ernst Zündel dans ses deux longs procès de Toronto, en 1985 et en 1988 : deux catastrophes pour les tenants de la thèse du génocide, des chambres à gaz et des six millions. Les révisionnistes ont ainsi accumulé une longue série de victoires. Mais le grand public l’ignore. L’emprise des juifs sur les médias est telle que ce public a été tenu dans l’ignorance de ces victoires jusqu’à l’apparition d’Internet.

Voyez R. Faurisson, « Les Victoires du révisionnisme », 11 décembre 2006, 22 p., disponible auprès des Editions Akribeia : prix 10€.

12 décembre 2006