|

I have a dream… (version française)

À chacun ses rêves !

Au nombre de mes rêves, celui-ci : un jour viendra où, dans une vaste galerie de photographies, un révisionniste exposera librement, une à une, les sinistres bobines des mille personnes, hommes ou femmes, qui, depuis les années 1940, se sont signalées par leur défense du mensonge de « l’Holocauste » et des «chambres à gaz».

Dans la salle principale trôneront en vedettes Élie Wiesel, Simon Wiesenthal, Otto Heinrich Frank (le père d’Anne Frank), Simone Veil ainsi qu’une kyrielle de chefs d’État (en particulier tous les présidents successifs des États-Unis), sans oublier les intellectuels de haut vol comme Jean-Paul Sartre ou de prestigieux historiens comme Fernand Braudel. Les photographies des gens de basoche, tel Robert Badinter, et celles des échotiers, tels Madeleine Jacob et Edwy Plenel, seront reléguées dans une annexe à vocation de dépotoir.

Les photographies seront connectées à des ordinateurs où l’on pourra lire, voir ou entendre ce que ces personnages ainsi que des milliers d’autres menteurs ou bonimenteurs ont accumulé de mensonges, d’inventions, de malhonnêtetés, de tricheries, de calomnies, d’insultes, d’appels à la haine, à la violence, à la censure et à la répression contre les révisionnistes.

Mais j’aurais bien d’autres suggestions muséographiques à faire, qui rendraient cette galerie vivante, active et même, comme on dit, « interactive ».

D’ores et déjà, les chacals ou les vautours qui, encore aujourd’hui, courent ou volent au secours du Grand Mensonge sont prévenus qu’ils trouveront leur place dans cette galerie. Si jamais un jour, à vent tournant, l’envie devait soudain leur prendre de se faire oublier, de s’éclipser, de plaider l’erreur commise de « bonne foi » ou encore de donner le change sur leur passé, l’exposition photographique serait là pour leur rafraîchir la mémoire et leur rappeler leurs turpitudes. Il n’y aura pas de Grand Pardon pour les apôtres ou les fidèles du Grand Mensonge.

15 octobre 2009