|

Elie Wiesel demande la mise en accusation du président Ahmadinejad

J’apprends qu’Élie Wiesel, notre grand faux témoin de « l’Holocauste des juifs », voudrait que le président Ahmadinejad fût mis en accusation par l’assemblée générale des Nations unies.

S’il devait obtenir satisfaction, je demanderais à témoigner en faveur du président iranien et à démontrer à la face du monde qu’Elie Wiesel est un fieffé menteur professionnel, un calomniateur et qu’il incite à la haine.

Robert Faurisson

(aux bons soins de Mark Weber, directeur de l’Institute for Historical Review, P.O. Box 2739, Newport Beach, California 92659, États-Unis ; +1 949 631 1490)

***

Wiesel presse L’ONU d’entamer des poursuites à l’encontre du président iranien
22 septembre  2008
Claudia Parsons

NATIONS UNIES (Reuters) – Lundi, Élie Wiesel, prix Nobel et survivant de l’Holocauste, a vivement recommandé aux Nations unies de poursuivre le président iranien Mahmoud Ahmadinejad pour incitation au génocide au lieu de lui permettre de prendre la parole devant l’Assemblée générale de l’ONU.

S’exprimant devant des milliers de manifestants, Wiesel a demandé aux dirigeants du monde d’empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire – un projet dont Téhéran se défend mais que les puissances occidentales soupçonnent d’être le véritable but de son programme nucléaire.

Le lauréat du prix Nobel de la paix [1986] a déclaré qu’Ahmadinejad, qui a dit qu’il fallait rayer Israël de la carte, devrait être poursuivi pour « propagation d’une politique génocidaire ».

« Ce n’est pas Hitler, personne n’est Hitler, mais il entend suivre les traces d’Hitler et cela fait de lui un criminel par excellence », a dit Wiesel, exhortant les dirigeants du monde à quitter la salle lorsque Ahmadinejad s’adressera mardi à l’Assemblée générale.

« Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad est une menace pour la paix du monde et il ne devrait pas être ici à New York. Sa place est… dans une cellule de prison des Nations unies », a affirmé Wiesel.

Ahmadinejad s’est pris violemment aux États-Unis lors de ses deux dernières interventions devant l’Assemblée générale qui se tient au siège de l’ONU, en territoire international, dans l’est de Manhattan.

Tous les dirigeants internationaux sont invités à la réunion annuelle de septembre, au grand dam des États-Unis qui ont été obligés au fil des années de tolérer la présence d’ennemis comme le Cubain Fidel Castro, le Vénézuélien Hugo Chávez et Ahmadinejad.

Plusieurs autres orateurs présents à la manifestation ont dit que le président iranien devrait être traité en paria de la communauté internationale. Ils ont également demandé au groupe de responsables religieux qui l’a invité jeudi à une rencontre sur le dialogue interreligieux d’annuler sa proposition.

La manifestation de lundi s’est transformée en match politique après que le sénateur démocrate Hillary Clinton eut annulé sa participation en apprenant que Sarah Palin, candidate républicaine à la vice-présidence, devait aussi y prendre part.

Les organisateurs ont alors retiré leur invitation à Palin, déclarant qu’ils ne voulaient pas que l’événement eût un caractère partisan.

Des participants scandaient des slogans comme «Arrêtez l’Iran, MAINTENANT !» et brandissaient des pancartes portant des messages comme « Tolérance zéro pour les islamofascistes » et « Bombardez Bushehr », allusion évident à la ville portuaire de Bushehr où l’Iran est en train de construire une centrale nucléaire.

28 septembre 2008