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Selon la propagande juive, les révisionnistes sont des assassins

En 1987, Pierre Vidal-Naquet publiait Les Assassins de la mémoire (éditions de la Découverte), ouvrage qui contenait, en particulier, un essai sur Robert Faurisson, décrit comme « un Eichmann de papier », c’est-à-dire, dans l’esprit de l’auteur, comme un redoutable assassin.

En 1998, Alexandre Oler publiait Un Génocide en héritage (éditions Wern), ouvrage contenant des reproductions de tableaux dus à David Olère, « survivant des Sonderkommandos » d’Auschwitz ; la préface était de Serge Klarsfeld et les commentaires d’Alexandre Oler, fils du peintre David Olère. À trois reprises, nous était présenté comme assassin de David Olère (mort en 1985, à l’âge de 83 ans) un universitaire français en lequel il était facile de reconnaître Robert Faurisson.

Au revers de la jaquette du livre, il était écrit :

David Olère est né le 19 janvier 1902 à Varsovie […]. Il est décédé le 2 août 1985. Il a été tué non par l’âge ou la maladie, mais en apprenant qu’un universitaire français osait enseigner à la jeunesse que ce qu’il a vécu quotidiennement de 1943 à 1945 parmi des millions d’autres, n’a jamais existé.

L’accusation était réitérée dans les mêmes termes à la page 120. Enfin, à la page 121, on lisait :

1985 : Décès de David Olère [à Noisy-le-Grand en Seine-Saint-Denis], tué non par l’âge ou la maladie, mais par les théories négationnistes enseignées à la jeunesse par un professeur d’université de Lyon.

Soit dit en passant, David Olère était un faux témoin. C’est ce qui apparaît dans nombre de ses grotesques tableaux et, notamment, à la page 37 ; il y prétend montrer l’entrée de la « chambre à gaz » de l’un des grands crématoires II ou III d’Auschwitz-Birkenau où il aurait, nous dit-il, travaillé. Dans ses dessins la « chambre à gaz » est située à l’étage même des fours. Or, la simple inspection des plans et des lieux permet de constater que la pièce abusivement présentée comme étant une chambre à gaz d’exécution (il s’agissait en réalité d’un dépositoire) se trouvait à l’étage inférieur : détail architectural que n’aurait pu ignorer notre homme s’il avait tant soit peu travaillé dans ce bâtiment.[1]

En 1999, la Revue d’histoire de la Shoah (anciennement Le Monde juif), publiée par le Centre de documentation juive contemporaine de Paris, intitule sa livraison n° 166 (mai-août 1999) : « Négationnisme. Le génocide continué » et, à la page 262, dénonce les « négationnistes » « avides de nouveaux génocides ».

Il est devenu banal de présenter les révisionnistes comme des assassins particulièrement lâches qui s’en prennent aux « pauvres juifs » : ils tuent une seconde fois les juifs qui ont été tués une première fois par les Nazis et ils tuent aussi les malheureux « survivants » juifs qui, par millions, avaient miraculeusement échappé à la mort. Les révisionnistes sont toujours les pires des assassins et les juifs toujours les plus pitoyables des victimes. Aussi les premiers méritent-ils les peines de prison ou d’amendes qu’on leur inflige et les seconds les compensations financières qu’on leur verse.

En réalité, ce qu’on nous chante là relève de la maladie de la persécution, et de l’éternelle cantillation hébraïque. Ces fabuleuses exagérations sur le compte des révisionnistes présentent au moins un avantage : elles peuvent ouvrir les yeux des naïfs sur ce que la propagande juive a été capable de forger sur le compte des Allemands.

27 août 1999

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[1] Déjà en 1989, Jean-Claude Pressac avait reproduit ce dessin dans Auschwitz, Technique and Operation of the Gas Chambers, Beate Klarsfeld Foundation, New York, p. 493, et en 1993, dans Les Crématoires d’Auschwitz, CNRS éditions, Paris, cahier photographique, document 32.