Pour une histoire véridique de la seconde guerre mondiale Le “génocide”

Deux écoles historiques : l’histoire officielle (avec ses nuances et ses contradictions) et l’histoire révisionniste (avec ses nuances et ses contradictions).

1. – L’histoire officielle. Celle des universités et des instituts officiels, celle de Raul Hilberg (The Destruction of the European Jews) et de Gerald Reitlinger (The Final Solution. The Attempt to Exterminate the Jews of Europe 1939-1945). Voy. les publications de l’Institut für Zeitgeschichte de Munich, celles des instituts ou des centres de recherche juifs tels que le Centre de documentation juive contemporaine de Paris, les ouvrages de Joseph Billig, d’Olga Wormser-Migot, de Léon Poliakov, de Georges Wellers ; les publications du « Comité d’histoire de la Deuxième guerre mondiale », etc.

2. – L’histoire révisionniste. Celle d’auteurs isolés, dont les publications ont été l’objet de saisies ou d’interdictions diverses, dont les ouvrages – quand leur diffusion est tolérée – sont parfois difficiles à trouver. Voy., notamment, Le Véritable Procès Eichmann, par Paul Rassinier (ancien déporté) et The Hoax of the Twentieth Century par Arthur R. Butz.

3. – Thèse officielle. Les Allemands ont placé de très nombreux juifs dans des camps de concentration. Certains camps étaient dotés de fours crématoires où étaient brûlés les cadavres. Jusque-là rien d’effroyable, puisque les Allemands n’ont été ni les premiers, ni les derniers à placer en camps de concentration des catégories de civils tenus pour dangereux, indésirables, favorables à l’ennemi, etc., et puisque brûler des cadavres au lieu de les enterrer n’a rien d’une pratique criminelle, surtout là où il y avait, dans l’Europe en guerre, de terribles épidémies de typhus. Le crime des Allemands commence avec la volonté de « génocide » et avec l’institution de ces abattoirs industriels qu’étaient les « chambres à gaz ». Hitler a fait tuer des gens en raison de leur race et de leur religion. Il a ainsi tué quatre à six millions de juifs. C’est cela le «génocide», l’« extermination », l’« holocauste ». Il est normal que l’Allemagne (au moins celle de l’Ouest) ait versé et continue de verser à l’État d’Israël et aux communautés juives internationales de substantielles réparations financières. Il est normal que les rescapés d’un si grand massacre, qui est sans précédent dans l’histoire, aient obtenu de la communauté internationale le droit de s’installer dans un territoire qui ne leur appartenait pas de jure. A souffrances exceptionnelles, procédures exceptionnelles et réparations exceptionnelles.

4. – Thèse révisionniste. Il suffit d’appliquer ici les méthodes de routine de la critique historique pour découvrir que ces camps de concentration et ces fours crématoires ont réellement existé, tandis que cette prétendue tentative de «génocide» et ces prétendues « chambres à gaz » ne sont qu’une seule et même invention de la propagande de guerre. Cette invention est d’origine essentiellement sioniste. Elle a eu des retombées politico-financières dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire. Jamais Hitler n’a donné l’ordre de tuer ne serait-ce qu’un seul homme en raison de sa race ou de sa religion. Les juifs qui sont morts autrement que de causes naturelles sont morts par « faits de guerre ». Il y a eu des « pertes juives » comme il y a eu des « pertes » françaises, allemandes, russes, japonaises… Dans la seconde guerre mondiale, des millions de soldats, de francs-tireurs, de civils ont eu à souffrir des maux suivants : humiliations, persécutions, arrestations, internements, déportations, travaux forcés, faim, froid, épidémies, bombardements… Certains ont été torturés, exécutés, massacrés, acculés au suicide… D’autres ont été privés de leurs biens, de leurs terres, de leur patrie… Avec les moyens modernes d’investigation et grâce à la somme colossale d’archives dont nous disposons (en particulier grâce aux archives allemandes des camps), il serait parfaitement possible de déterminer, sans doute à quelques milliers d’unités près, le montant exact des «pertes juives».[1] Un homme peut disparaître à jamais mais il ne peut guère, en même temps, faire disparaître dans les documents et dans les mémoires toutes trace de son existence passée. Pourquoi, là encore, n’avoir pas, en plus de trente ans, appliqué les méthodes de recherche qui sont de routine ? Pourquoi là où, par exception, un service officiel a fait ce travail, en cache-t-on les résultats (France) ou en déforme-t-on les résultats par des commentaires tendancieux (Service international de recherches de la Croix-Rouge) ? Le nombre des juifs « exterminés » par Hitler (ou « victimes du génocide ») s’élève heureusement à… ZÉRO. En revanche, le nombre des Européens « tués par faits de guerre » pourrait être de l’ordre de quarante millions ; parmi eux, celui des juifs européens, pourrait être de l’ordre d’un million, mais, plus probablement, de plusieurs centaines de milliers. Un jour le chiffre exact sera trouvé : il va de soi que ce chiffre exact ne peut émaner que d’une instance internationale, procédant selon des méthodes scientifiques et permettant les vérifications qui seraient de rigueur.[2]

5. – Attitude des médias. Les médias prennent parti depuis trente-quatre ans et sur les cinq continents pour la thèse officielle ; ils renchérissent même sur ces affirmations. Pendant trente ans, ils ont ignoré la thèse révisionniste ; depuis quelques années, ils commencent à en parler mais en la déformant systématiquement et en la présentant comme l’œuvre de « nazis ». Par exemple, ils disent couramment ceci : « Des nazis prétendent que les camps de concentration, les chambres à gaz et les fours crématoires n’ont jamais existé ! » Ou encore : « Des nazis prétendent que pas un juif n’a été gazé. » Les deux formules sont habiles mais elles déforment la thèse qu’elles prétendent résumer. Le vrai résumé est le suivant :

Les camps : oui. Les crématoires : oui. Les chambres à gaz : non. Hitler n’a jamais fait tuer d’hommes en raison de leur race ou de leur religion. Le «génocide» (mot et chose) est une invention de la propagande de guerre, complaisamment répercutée par les médias.

25 mai 1978

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[1] Il est probable que les plus fortes et terribles déportations ont eu pour victimes les minorités allemandes de l’est européen. [NdA]
[2] « Solution finale » = émigration ou évacuation (vers l’Est). [NdA]