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Demande d’ouverture d’une enquête internationale sur la question de l’”Holocauste” des juifs

L’« Holocauste » des juifs peut se définir comme la destruction systématique, ordonnée et planifiée, de six millions de juifs, durant la seconde guerre mondiale, par le fait des Allemands, notamment grâce à l’emploi de chambres à gaz homicides et, accessoirement, de camions à gaz homicides. C’est, pour l’essentiel, en compensation de ce désastre (« shoah ») que les juifs ont obtenu, en 1947, le feu vert de l’Organisation des Nations Unies pour la création de l’État d’Israël, le 14 mai 1948, et que cet État a reçu de la République fédérale d’Allemagne de colossales «réparations» financières en vertu de l’accord de Luxembourg, signé le 10 septembre 1952 et ratifié le 21 mars 1953.

L’« Holocauste » constitue depuis 1948 l’arme numéro un de la propagande de l’État d’Israël et des organisations sionistes mondiales telles que le World Jewish Congress, l’American Jewish Congress et la World Zionist Organization.

Sans vouloir remettre en cause le fait même que les juifs ont cruellement souffert de la politique et de l’action des autorités du IIIe Reich, nous exigeons de savoir ce qu’il y a de vrai et ce qu’il y a de faux dans l’histoire de l’« Holocauste » des juifs.

Nous en appelons à la création d’un comité international d’experts pour l’ouverture et la conduite d’une enquête sur l’« Holocauste » des juifs.

Ce qui, de manière explicite ou implicite, a été accepté pour vrai en 1947 par l’Organisation des Nations Unies et, en 1952-1953, par la République fédérale d’Allemagne correspond-il encore aujourd’hui à la vérité telle que celle-ci a pu se faire jour à l’occasion d’enquêtes, de découvertes et de controverses historiques dont l’ampleur ne peut plus être négligée par la communauté des nations ?

La gravité des événements au Moyen-Orient nous fait une obligation d’apporter une réponse à cette question fondamentale pour la compréhension du passé et pour l’intelligence de l’avenir.

Contribution à une enquête internationale sur la question
de l’« Holocauste » des juifs

Une enquête sur la question de l’« Holocauste » des juifs devrait apporter une réponse claire et brève, non assortie d’exégèses, aux questions suivantes :

  1. Existe-t-il un document explicite, signé d’Adolf Hitler ou d’une autorité quelconque du IIIe Reich, qui constitue un ordre de détruire physiquement les juifs ?
  2. Existe-t-il un document explicite qui constitue un plan de destruction physique des juifs ?
  3. Existe-t-il un document explicite qui prouve que, dans un pays en guerre comme l’était l’Allemagne, où l’économie entière était contrôlée et où budget et matières premières étaient sévèrement limités, un budget a été établi pendant plusieurs années et des matières premières ont été délivrées pour mener à bien une formidable entreprise d’extermination aux proportions industrielles ?
  4. Existe-t-il une expertise de l’arme du crime prouvant que telle pièce d’habitation (à l’état d’origine, à l’état de reconstruction ou à l’état de ruine) a été une chambre à gaz homicide ou que tel camion (à l’état de plan ou à l’état de réalisation) a été un camion homicide ?
  5. Existe-t-il un rapport d’autopsie établissant, dans le cas d’une mort imputable aux Allemands du IIIe Reich que tel cadavre était celui d’une personne tuée par gaz-poison ?
  6. Est-il vrai que le chiffre de six millions de morts juives n’est que symbolique et que ce chiffre, aussi bien que ceux de cinq millions cent mille ou de quatre millions quatre cent mille proposés par tel ou tel historien, ne reposent que sur des spéculations et que jusqu’à présent, malgré les possibilités offertes par les moyens modernes de calcul, aucune étude n’a encore été entreprise par les défenseurs de la thèse de l’« Holocauste » pour essayer de déterminer scientifiquement le total des morts juives de la dernière guerre, qu’il s’agisse de morts naturelles ou de morts non naturelles ?
  7. Est-il vrai que le Service international de recherches d’Arolsen-Waldeck, situé en Allemagne, mais dépendant du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et étroitement surveillé par dix pays dont l’État d’Israël, possède une énorme documentation propre à fournir une première et indispensable réponse à la question du nombre des morts juives et des survivants juifs mais que cette institution se refuse ou se voit contrainte de refuser tout accès aux chercheurs – sauf à quelques privilégiés – et qu’elle est allée à la fin des années soixante-dix jusqu’à fermer sa section historique (Historische Abteilung) et à s’interdire toute publication de statistiques pour s’être aperçue que certaines recherches ou statistiques risquaient de provoquer trop de remises en cause ?

5 novembre 1990