Le bellicisme judéo-américain

« America bellum est, et bella » © : l’Amérique, c’est la guerre, et les guerres. Idem pour Israël.

Ces deux entités communient dans la religion ou le mensonge historique de «l’Holocauste». Yahweh, dieu de colère, de haine et de vengeance, dicte à son peuple la conduite à tenir. Ce peuple, il l’a élu entre toutes les nations comme étant le meilleur, le plus beau ! Le reste des nations envie ce peuple, le jalouse et le persécute depuis toujours. Le peuple d’Israël a une âme, lui, et même « un supplément d’âme » (interrogez Google sur cette formule). Il n’encourt  aucune responsabilité dans l’hostilité dont il est l’objet en tout temps, en tout lieu. Il sait que son devoir est d’exterminer les hommes, les femmes, les enfants de ses adversaires et de s’approprier leurs biens. Au besoin, quand, tel Josué, il est en train de massacrer l’adversaire, il peut obtenir de son dieu que celui-ci arrête le cours du soleil autour de la terre afin que l’arrivée de la nuit n’aille pas interrompre le pieux massacre.

Voyez, ci-dessous, une « tribune » de Camille Galic, datée du 9 septembre 2013, publiée sur le site de « Polemia » deux jours plus tard et intitulée : « Les sept piliers de la folie belliciste » . Le titre est inspiré de celui du livre de T. E. Lawrence : Seven Pillars of Wisdom, a Triumph (Les sept piliers de la sagesse : un triomphe) (1926 pour la première édition anglaise). Ici, la folie belliciste conduit non point au triomphe mais au désastre. L’image placée en tête de l’article est celle de Michael Ledeen, l’ancienne éminence grise de « W » (George Bush junior) qui a été le boucher de l’Irak et l’apôtre du mensonge des prétendues « armes de destruction massive » de Saddam Hussein. Pour plus de renseignements sur le personnage de M. Ledeen, voyez fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Ledeen, où figure, en particulier, la remarque suivante : « Aujourd’hui, il est l’un des plus ardents défenseurs de la doctrine Bush et de la théorie du Grand Moyen-Orient, partisan de renverser non seulement le régime irakien du dictateur Saddam Hussein, mais aussi les régimes d’Iran, de la Syrie, voire de l’Arabie saoudite (ou du moins l’empêcher de “financer le terrorisme”). »

D’une manière plus générale, il y aurait encore beaucoup à dire sur le bellicisme juif.

11 septembre 2013