Le grand racket holocaustique (suite)
Le Monde de ce jour publie un article de Pascale Santi intitulé : « Le Congrès juif fait monter la pression sur les banques françaises » (p. 19). Ce congrès est, en fait, le tout-puissant Congrès juif mondial (CJM) ou World Jewish Congress (WJC), présidé par le milliardaire juif canadien Edgar Bronfman, dont la fortune patrimoniale a trouvé sa source dans la contrebande de l’alcool (bootleg ou bootlegging) et dont la fortune actuelle tient au commerce de l’alcool et à celui des médias.
Le CJM a déjà fait fléchir les banques suisses auxquelles il a, en fin de compte, extorqué 1,25 milliard de dollars ! Les responsables de ces banques, qui passent pour inflexibles, avaient, en un premier temps, admis le principe de versements d’argent pour apaiser le CJM et ils attendaient qu’on leur fournisse une justification chiffrée des sommes à verser. Mal leur en avait pris. E. Bronfman considéra qu’il n’avait pas à justifier ces sommes. Les banques suisses barguignèrent, puis s’inclinèrent.
Le scénario se répète avec les banques françaises. L’article du Monde le prouve. Il annonce que le CJM va examiner d’éventuelles « sanctions contre les banques françaises » et qu’il « exige un accord avant la fin du mois prochain ». Le CJM «pourrait recommander de bloquer tout projet de fusion ou d’acquisition de ces banques aux États-Unis ou au Canada ». La Société générale, Paribas, le Crédit lyonnais, le Crédit agricole, Indosuez, Natexis et les filiales françaises des banques américaines Chase et JP Morgan sont poursuivis devant un tribunal de Brooklyn, quartier juif de New York, par des « survivants » ou leurs ayants droit. La position des banques françaises en est considérablement affaiblie. En France, la mission Mattéoli, créée par le gouvernement français sous la pression des juifs, mène à grands frais son enquête sur « la spoliation des juifs de France » et une instance chargée de l’examen, en sus, des demandes individuelles va être confiée à un vrai juif de combat, Pierre Drai, ancien président de la Cour de cassation.
Peu importent ces efforts et ces concessions. Le boycott est envisagé par le CJM. La journaliste du Monde l’admet, « C’est cette épée de Damoclès qui a fait fléchir les banques suisses ». En ce qui concerne l’Allemagne, qui reste de loin le pays le plus pressuré par les juifs, la journaliste se contente de noter ceci qui, lu lentement et de près, devrait ouvrir des horizons aux naïfs connaissant mal les ressources du grand racket holocaustique : « De même, le projet de rachat par la Deutsche Bank de la banque américaine Bankers Trust a été menacé, incitant une dizaine d’entreprises allemandes et la première banque d’outre-Rhin à créer un fonds de l’Holocauste ».
On a là un exemple du procédé qui a permis la création, à travers le monde, d’innombrables « fonds de l’Holocauste » et « musées de l’Holocauste ».
Dans cet article du Monde, on ne manque pas de sacrifier à un usage révérencieux, nécessaire pour écarter l’accusation mortelle d’antisémitisme : on nous montre les juifs comme animés d’opinions « divergentes » ou « assez divergentes » et même «divisés». On y précise que, pour sa part, Israël Singer, secrétaire général du CJM, serait « opposé dans tous les cas au boycott ainsi qu’aux sanctions économiques ». Calembredaines ! Les divergences portent sur les moyens à mettre en œuvre pour s’assurer le magot et sur les quantités à se répartir. Il s’agit de disputes de vautours ou de simple partage des rôles. Le résultat reste identique : la victime désignée, toujours la même, crachera au bassinet.
Question pour l’historien des temps modernes : en dehors de l’ensemble, disparate et porté à la zizanie, que forment les juifs, quel autre groupe humain existe-t-il au monde qui puisse pratiquer un racket d’une telle dimension avec autant de cynisme, en parlant si haut, si fort, menaces perpétuelles à la bouche et armes, bien visibles, à portée de main ?
Pour ma part, je n’en connais pas.
24 février 1999