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Deux courriels à Monsieur le Commissaire de police de Vichy

mercredi 1er octobre 2014

Monsieur le Commissaire,

Ainsi que j’ai eu l’honneur de vous le préciser au téléphone, je tiens particulièrement à ce que le Commissariat de Vichy détienne dans ses archives la trace des  multiples plaintes que, depuis le 7 mars 2012, j’ai déposées contre le juif franco-israélien Gregory Chelli qui, au vu et au su des autorités judiciaires ou policières de notre pays, a pu en toute impunité multiplier les voies de fait les plus graves contre ma personne, contre ma femme, contre mon fils aîné (demeurant ailleurs qu’à Vichy) et contre Alain Soral et sa famille ainsi peut-être que d’autres personnes qu’il tient pour criminelles parce qu’elles partagent ou partageraient mes convictions révisionnistes. Pendant deux ans et demi les autorités judiciaires ou policières m’ont répondu par le silence. Et pourtant l’individu s’est joué de la Brigade anti-criminalité, à deux reprises dans mon seul cas. Si le commissariat l’avait dûment avertie du contenu de ma plainte à la suite de sa première opération en pleine nuit devant notre domicile, jamais la BAC ne se serait laissée prendre au jeu une seconde fois.

Dans toute cette affaire, s’est vérifié ce que j’ai trop souvent constaté soit à Lyon, soit à Paris, en particulier au Palais de justice de Paris, lorsque des troupes juives sont venues régler leurs comptes aux révisionnistes : la police ferme les yeux et les oreilles et parfois collabore avec de soi-disant groupes d’auto-défense juifs (voyez ce que je vous ai dit, par ailleurs, d’une révélation faite sur le sujet par Mme Françoise Castro, l’ancienne épouse de Laurent Fabius).

Quand, tout récemment, à la suite de votre nomination à Vichy, vous avez bien voulu m’accorder un entretien, j’ai noté avec quelle attention vous paraissiez prendre conscience de ce que cette affaire risquait de connaître des suites dramatiques.

Je vous ai notamment dit que la santé de ma femme ne résisterait probablement pas à une troisième intervention de la BAC provoquant en pleine nuit l’affolement des voisins.

Les médias « officiels » ont observé, eux aussi, le silence sur cette forme de terrorisme juif.

Ils ont même tout fait pour susciter la haine contre les révisionnistes et provoquer la violence à leur encontre. Jusqu’au jour où les horreurs perpétrées à Gaza par les juifs de l’Etat d’Israël ont fini par émouvoir Le MondeLibérationLe Nouvel Observateur ou Rue89.

Du coup G. Chelli a commencé à leur prodiguer un peu, seulement un peu, du traitement que jusque-là il réservait aux révisionnistes. Il s’en est  pris, par exemple, au journaliste Benoît Le Corre de Rue89. Le hasard veut qu’un jour le père de ce dernier décroche le téléphone. Mal lui en a pris. Il a dû entendre ce que les Faurisson ont maintes fois entendu de la bouche du juif Chelli. Il a été frappé d’un infarctus.

Il a fallu l’hospitaliser et le mettre en état de coma artificiel.

La suite, qui date d’hier mais que je n’ai apprise que ce soir grâce à un courriel de l’historien Paul-Eric Blanrue, je vous l’ai annoncée au téléphone : le père du journaliste est mort.

Vous trouverez tout renseignement utile aux adresses ci-dessous.

Veuillez recevoir, je vous prie, Monsieur le Commissaire, mes salutations distinguées.

Robert Faurisson

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1) Panamza [lien sur Facebook]

UN HOMME HARCELÉ PAR ULCAN EST DÉCÉDÉ

Mercredi 1er octobre, en milieu d’après-midi, Rue89 a annoncé la mort – survenue hier matin – du père du journaliste Benoît Le Corre.

L’homme était plongé dans un coma artificiel à la suite d’un infarctus occasionné après deux appels malveillants commis par le cybercriminel franco-israélien Grégory Chelli alias Ulcan. Ce dernier voulait se venger ainsi d’un article rédigé par Benoît Le Corre à son propos.

Rappel : Panamza avait récemment évoqué cette affaire dans deux articles, l’un consacré au reportage problématique de France 2 sur Ulcan et l’autre relatif à l’étrange volonté de France 2 d’occulter la gravité de ses méfaits à l’encontre de la famille du journaliste Aymeric Caron.

Aspect capital à suivre dans les prochains jours : la réaction des autorités françaises et des représentants de la communauté juive vis-à-vis de ce drame. Réfugié en Israël, Ulcan a toujours affirmé – sur son chat en ligne – avoir agi de la sorte en raison de son militantisme en faveur de la cause juive et sioniste.

Détail significatif: depuis 2009, l’avocat de Grégory Chelli est Gilles-William Goldnadel, secrétaire national de l’UMP [chargé des médias] et co-directeur [membre du comité directeur] du Conseil représentatif des institutions juives de France.

D’autres informations inédites à propos d’Ulcan seront très prochainement divulguées par Panamza.

2) Affaire Ulcan : décès du père du journaliste de rue89

3) Décès du père du journaliste de Rue89, harcelé par un pseudo-hacker franco-israélien

 

F I N

 

jeudi 2 octobre 2014

Monsieur le Commissaire,

Je vous demanderais de bien vouloir ajouter, dans ma plainte contre Gregory Chelli, le présent courriel à celui que je vous ai envoyé hier. Il tient en six points que je fais suivre d’une conclusion et d’un avis personnel.

1) Après avoir, en un premier temps, provoqué la mort du père du journaliste Benoît Le Corre, G. Chelli, en un second temps, a téléphoné au fils éploré pour mieux s’en gausser. Il lui a proposé un match de boxe qui, médiatisé, ne manquerait pas de leur rapporter à tous deux beaucoup d’argent (sic) : Grégory Chelli présente ses “condoléances” à Benoît Le Corre (1 m. 38 s.) ; 

2) Pierre Haski, juif et fondateur de « Rue89 », appelle à la retenue : il déclare sur les ondes de RMC : « Les autorités israéliennes ne bougent pas. Il y a des dizaines de plaintes… Je suis en colère. Si Israël ne répond pas à cette demande, ne prend pas la mesure de la gravité de ce qui se passe, il y a un moment où il faudra parler de complicité » : Ulcan : “complicité” israélienne ? (1 m. 19 s.) ; 

3) Le Monde papier ne s’est toujours pas décidé à évoquer l’affaire ; en revanche, Le Monde.fr s’y attarde et il convient de lire, en plus de son article proprement dit, les deux articles auxquels il renvoie (voy. « Lire » et «Lire aussi») : Mort du père d’un journaliste de Rue89 harcelé par un hacker ;

4) Le Parisien apporte sa contribution : Décès du père d’un journaliste de Rue89 harcelé par le hacker Ulcan ;

5) « Panamza », à son habitude, reste particulièrement attentif à l’affaire : blanrue.blogspot.fr/2014/10/une-info-exclusive-de-panamza-lun-des.html [lien caduc]

6) Je n’ai pas encore trouvé le temps de le vérifier mais il semble que, ce matin, sur RMC, au cours de l’émission de Jean-Jacques Bourdin, l’affaire Chelli et mon nom auraient été évoqués et un auditeur particulièrement averti serait intervenu dans la discussion.

– Conclusion à ce jour, suivie de mon avis –

L’affaire Grégory Chelli a pris son envol. A lire les commentaires dont s’accompagnent les textes, nombre de lecteurs sont particulièrement indignés par le comportement de la police et de la justice françaises dans cette affaire.

A mon avis, cette affaire permet une plongée non seulement dans la psyché d’un Gregory Chelli mais dans le comportement de toute une frange de l’activisme juif. On y retrouve tous les éléments d’une longue tradition historique observée par ce groupe : arrogance, menaces, terreur, diffamation, injures, collaboration assurée de la police et de la justice du pays concerné ainsi que des médias, inventions vicieuses dans le but de nuire, cynisme, argent, toujours plus d’argent, plaintes, larmes, gémissements, mensonges étourdissants à vous couper le souffle, appels aux guerres, aux croisades, aux expéditions punitives, boycott, délation, procès perpétuels, cinéma perpétuel, télévision perpétuelle, nombrilisme, orgueil, coloniser, soumettre, voler, duper, tricher. A la fin, se plaindre de n’être aimé en aucun pays, en aucun temps, en aucun régime politique !

Tels sont les éléments qui caractérisent l’activisme judéo-juif de Gregory Chelli d’Ashdod et de ses pareils. Quant aux juifs qui appellent à la retenue, ils sont, eux aussi, inquiets de cette HYSTÉRIE. Or, cette hystérie, nous n’avons pas même le droit de la décrire ! La France fait partie des pays qui, sous la pression de groupes représentatifs, se sont dotés de lois spéciales qui nous interdisent de manifester notre désarroi, notre fatigue, notre DÉGOÛT !

Veuillez recevoir, Monsieur le Commissaire, mes salutations distinguées.

Robert Faurisson