Affaire Chelli (suite 2)
J’estime que nous avons tous l’obligation morale d’écouter jusqu’au bout, grâce au site Panamza, les propos tenus au téléphone par le juif Chelli à la mère et au père du journaliste Le Corre de Rue89.
Cette fois-ci, enfin, les propos ne sont plus censurés. La presse officielle s’est déshonorée en gardant un silence total sur ce que j’ai subi durant deux ans et cinq mois du fait de ce juif et, quand elle s’est décidée à en traiter, elle a outrageusement censuré ou minimisé la réalité des FAITS.
N’allez pas prétendre ni croire que Chelli est seulement un excité ou un fou. En quarante ans, j’ai eu affaire à mille Chelli par qui je n’ai cessé d’être insulté, outragé, vilipendé ou physiquement attaqué.
Quant à la police et à la justice françaises, elles ont jusqu’à ces derniers temps employé toute leur énergie à m’accabler de perquisitions, de gardes à vue, de condamnations iniques et se sont compromises avec des bandes ou ligues de «défense» juives.
Nombre d’autres révisionnistes, en France et en d’autres pays du monde occidental, ont connu des épreuves bien pires que les miennes.
Et cela sans que les criminels aient eu besoin d’organiser le moindre complot. Quand on détient le pouvoir et qu’on a les moyens de faire peur, on n’a nul besoin de comploter.
« Le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale » : voilà qui suffit.
Merci à ceux qui, en nombre croissant, surtout dans la jeunesse, me disent leur sympathie.
5 octobre 2014