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Un aperçu de l’Erostrate norvégien en antirévisionniste, sioniste et nationaliste

Je remercie le correspondant qui, à ma demande, a bien voulu traduire la page 1366 de l’écrit du Norvégien Breivik.

A la page 1365, Breivik expliquait pourquoi, à son avis, le national-socialisme est une idéologie morte ; puis, à la question : « Etes-vous un négateur de l’holocauste ? » il fait, à la page 1366, la réponse qu’on lira ci-dessous.

En résumé, pour lui, les révisionnistes sont dans l’erreur et il y a eu un holocauste juif, lequel a fait 6 000 000 de victimes ; il ajoute un peu plus loin  : « Je m’oppose aux négateurs de l’holocauste juif. » Il se déclare « un ferme partisan d’Israël et de tous les juifs patriotes ». (Il me semble que la grande presse nous a jusqu’ici caché à la fois cette opposition au révisionnisme et cet attachement à l’Etat d’Israël ainsi qu’aux sionistes.) Enfin, il précise qu’il est totalement opposé à ce qu’il appelle « la religion de l’holocauste » en ce que cette dernière, portant l’accent sur un génocide de 6 000 000 de juifs en Europe, a pour effet d’abord d’enlever toute fierté nationale aux Européens et de masquer ensuite un génocide, par l’Islam, de 300 000 000 de personnes dans le monde, un génocide qui se poursuit encore aujourd’hui, avec, parmi les victimes, encore des juifs. Breivik est en faveur des nationalismes, y compris le nationalisme juif.

Réponse de Breivik (p. 1366) à la question : «Etes-vous un négateur de l’holocauste?»

A supposer, bien sûr, que vous faites allusion à l’holocauste juif dans l’Allemagne nazie, non ; non, j’ai examiné les preuves et témoignages [the evidence], aussi bien les preuves et témoignages présentés par les puissances alliées que les preuves et témoignages anti-holocauste présentés par les puissances de l’Axe et les mouvements néo-nazis. Je ne trouve pas plausibles les preuves  et témoignages anti-holocauste et je ne vois donc pas de raison pour quiconque de nier l’holocauste juif. A ce que j’ai compris, à l’origine l’Allemagne nazie ne voulait pas anéantir les juifs. Ils envisageaient la déportation mais ils n’avaient pas vraiment d’endroit où déporter et les forces alliées ne leur en ont proposé aucun. Ils n’ont commencé à massacrer les juifs qu’à partir du moment où ils se sont rendu compte qu’ils perdaient la guerre et que les perspectives s’évanouissaient rapidement (après l’échec de l’invasion de la Russie en 1941). Je suppose que leur logique a été la suivante : ils ont pensé qu’avant de perdre la guerre il leur fallait éradiquer ce qu’ils tenaient pour un cancer, un peu comme l’ont fait les Serbes pendant la guerre des Balkans. Ils ont voulu déporter mais, comme leurs adversaires rendaient la chose impossible, ils ont choisi la seule solution (selon leur logique). Personne ne doit justifier le génocide, c’est une mauvaise action qui ne peut ni ne doit être excusée. Il y a toujours d’autres options.

Ce qui me gêne cependant dans la négation de l’holocauste, c’est le refus dans l’élite culturelle européenne marxiste/multiculturaliste de reconnaître les génocides des chrétiens, des hindous, des bouddhistes et des zoroastriens perpétrés par l’Oumma islamique. L’Islam a systématiquement massacré plus de 300 000 000 de personnes depuis sa création et cette tendance continue tous les ans (voyez la suite des génocides des Assyriens, des coptes, des maronites et des hindous au Moyen-Orient). Les élites politiquement correctes de l’UESSR/USASSR [Union européenne soviétisée / Etats-Unis soviétisés ?]  sont les véritables négatrices d’holocauste puisqu’elles refusent de reconnaître les atrocités islamiques actuelles et historiques.

De plus, alors que je m’oppose aux négateurs de l’holocauste juif, je me rends compte que la « religion de l’holocauste » est une force extrêmement destructrice en Europe. Aujourd’hui les jeunes Européens sont systématiquement endoctrinés et transformés en eunuques pacifistes (écoliers  transportés en cars jusqu’à d’anciens camps de concentration et à qui l’on enseigne à rejeter leur culture, leur fierté, etc.). Nos élites, soutenues par l’hégémonie culturelle de l’UESSR/USASSR, dépouillent de tout sens de la fierté et de l’honneur les jeunes Européens dans le cadre d’une action délibérée pour les féminiser et les amollir afin d’empêcher de futurs mouvements nazis d’émerger. Ici le problème est qu’il ne nous reste presque plus de défenses culturelles contre une force qui voudrait nous conquérir. C’est pourquoi l’Oumma islamique a profité de notre manque de défenses culturelles et se trouve en train de nous coloniser, aidée par la traîtrise de nos élites culturelles   marxistes/multiculturalistes.

La « religion de l’holocauste » est devenue un monstre antieuropéen destructeur qui empêche les doctrines nationalistes d’émerger. Et sans doctrines nationalistes l’Europe va s’étioler et mourir, comme on le voit aujourd’hui. Le comble de l’ironie est qu’il semblerait que l’Etat d’Israël lui-même en est devenu la victime. Il va sans dire que, bien que je sois un ferme  partisan d’Israël et de tous les juifs patriotes, je considère que la religion holocaustique antieuropéenne doit être déconstruite et remplacée par une version anti-islamique. Après tout, nous parlons d’une disproportion de 6 000 000 de juifs tués face au massacre de 300 000 000 de juifs, de chrétiens, d’hindous, de bouddhistes, de zoroastriens et d’animistes.

Actuellement, la « religion de l’holocauste » est l’un des facteurs principaux qui rendent l’Europe vulnérable et la mettent à portée d’une conquête islamique par le biais d’une guerre démographique.

 28 juillet 2011