L’UNESCO et “l’Holocauste”
Bonne idée de la part de “Bocage” que de rappeler ce que j’avais écrit à l’UNESCO au sujet de la fausse chambre à gaz nazie visitée par des millions de touristes à Auschwitz (voy. son message ci-dessous).
Au nombre des personnes qui, jusqu’ici, au fil des années, ont fini par reconnaître que cette chambre à gaz emblématique était fausse on peut citer en particulier :
- [en 1968, l’historienne Olga Wormser-Migot, juive] ;
- en 1991, l’historienne Madeleine Rebérioux, présidente de la LDH (Ligue des droits de l’homme) ;
- en 1995, l’historien Éric Conan (“Tout y est faux […]. Robert Faurisson exploita d’autant mieux ces falsifications que les responsables du musée d’Auschwitz rechignaient alors à les reconnaître”] ;
- en 1996, les historiens Robert-Jan van Pelt et Deborah Dwork, juifs ;
- en 2001, Jean-Marc Turine, réalisateur, et Valérie Igounet, historienne, dans le livret d’un documentaire préfacé par Simone Veil, juive ;
- en 2011, les historiens Jean-François Forges et Pierre-Jérôme Biscarat dans un Guide historique d’Auschwitz, préfacé en juillet 2010 par Piotr Cywinski, directeur du Musée d’État d’Auschwitz-Birkenau, juif (?).
À l’appui de mes affirmations, je fournirai ultérieurement toutes les références nécessaires, lesquelles, à l’exception peut-être de la toute dernière affirmation, figurent déjà dans mes écrits.
À l’heure où le canard des prétendues chambres à gaz nazies a de plus en plus de plomb dans l’aile ou bien, pour prendre une autre image, en un temps où il devient évident qu’il y a de plus en plus d’eau dans ce gaz-là, va-t-on encore longtemps berner les peuples du monde entier avec cette grotesque attrapoire ?
Le 3 novembre 2011 à 13h14 “Bocage” a écrit par courriel à sa liste de correspondants :
<< La directrice de l’UNESCO, Mme Irina Bokova, sait utiliser les arguments qui frappent : si vous ne nous donnez pas d’argent nous ne pourrons plus continuer à promouvoir l’Holocauste.
Le Figaro du 3 novembre:
“L’Unesco interpelle les États-Unis“
“La suspension des versements américains et des autres contributions financières (…) affaiblira l’efficacité de l’Unesco et mettra à mal sa capacité à construire des sociétés libres et ouvertes”, a réagi hier Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco, à propos de la décision américaine d’arrêter ses versements à l’institution dont fait désormais partie la Palestine en tant qu’État.
“Dans une période marquée par la crise économique et les transformations sociales, je crois que le travail vital de l’Unesco en vue de promouvoir une stabilité mondiale et les valeurs démocratiques se trouve au cœur même des intérêts américains”, poursuit le communiqué. Les financements américains permettent notamment à l’Unesco “de développer et rendre viables des médias libres et concurrentiels en Irak, en Tunisie et en Egypte. En Afghanistan, le soutien des États-Unis aide l’Unesco à alphabétiser des milliers d’officiers de police”.
La réaction américaine étant liée à Israël, la directrice rappelle que “l’Unesco est la seule agence des Nations unies disposant d’un mandat pour promouvoir l’éducation relative à l’Holocauste dans le monde. Grâce à des fonds versés par les États-Unis et Israël, l’Unesco développe des programmes scolaires pour faire en sorte que l’Holocauste ne soit jamais oublié”.
Pour conclure, la directrice de l’Unesco “en appelle donc à l’administration américaine, au Congrès et au peuple américain pour trouver un moyen de poursuivre l’aide apportée à l’Unesco en cette période troublée […] En attendant, il nous sera impossible de maintenir notre niveau d’activité actuel”, précise-t-elle.
Le “niveau d’activité” de l’UNESCO est tel que Mme Irina Bokova n’a jamais encore trouvé le temps de répondre au Prof. Faurisson qui, le 1er juin 1998, posait quelques questions à cet organisme, commençant ainsi : “Que compte faire l’UNESCO maintenant qu’elle sait qu’elle protège depuis 1979 une imposture avérée, une imposture précise dont même les autorités du Musée d’Etat d’Auschwitz ont conscience ?”
On trouvera ce texte dans Écrits révisionnistes (1974-1998), vol. IV, p. 1862-1871 ; sur le même sujet, on y lira (p. 1872) une lettre du Prof. Faurisson du 27 juin 1998 à M. Federico Mayor, président d’UNESCO à l’époque. >>
3 novembre 2011