Lettre à L’Express
Monsieur,
J’espère que certains des propos que le journaliste Philippe Ganier-Raymond vient de prêter à Louis Darquier de Pellepoix amèneront enfin le grand public à découvrir que les prétendus massacres en « chambres à gaz » et le prétendu « génocide » sont un seul et même mensonge, malheureusement cautionné jusqu’ici par l’histoire officielle (celle des vainqueurs) et par la force colossale des grands moyens d’information. Comme le Français Paul Rassinier (ancien déporté résistant), comme l’Allemand Wilhelm Stäglich, comme l’Anglais Richard E. Harwood, comme l’Américain Arthur R. Butz (auteur de La Mystification du XXe siècle, ouvrage si remarquable qu’on ne parvient manifestement pas à lui répliquer), comme vingt autres auteurs, passés sous silence ou calomniés tout à loisir, je proclame ici, comme je l’avais fait au colloque national de Lyon sur « Églises et Chrétiens de France dans la seconde guerre mondiale » (27-30 janvier 1978) : « Les massacres en prétendues “chambres à gaz” sont un mensonge historique ». Hitler n’a jamais ordonné ni admis que quiconque fût tué en raison de sa race ou de sa religion. Je ne cherche à outrager ni à réhabiliter personne. Jusqu’à preuve du contraire, je pense avoir conduit mes recherches selon les méthodes de routine de la critique historique. Je suis prêt à tout débat sur la question des « chambres à gaz » et du « génocide », à toute confrontation, à toute interview dûment enregistrée : cela, j’ai eu l’occasion de le déclarer par écrit à maintes autorités, à maintes publications (Tribune juive hebdo, par exemple), à maints organes d’information depuis quatre ans, et je le répète ici aujourd’hui. La lumière ne viendra ni du « docu-drame » Holocaust, ni de la LICA, ni d’une nième levée de boucliers ; elle ne pourra venir que d’un examen, à armes égales, des thèses en présence. Pour ma part, j’aime la lumière.
1er novembre 1978