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Le mythe de “l’Holocauste” en trois mots juifs

Le prétendu « Holocauste » des juifs et les prétendues chambres à gaz nazies forment une seule et même imposture. La gravité, l’étendue et la durée de cette imposture ne peuvent surprendre que ceux qui ignorent tout un aspect de la tradition juive. Pour illustrer cet aspect et pour en expliquer le caractère naturel chez les juifs, il suffit de connaître le sens et la portée de deux mots hébreux et d’un mot yiddish : ceux de « Shoah », de « shutzpah » et de « schnorrer ».
 
Au terme de « génocide » ou d’« Holocauste », les juifs préfèrent souvent un mot de leur cru, celui de « Shoah », lequel signifie « catastrophe ». Étant hébreu, ce mot présente, aux yeux des juifs, l’avantage de mieux distinguer le malheur qu’ils ont subi pendant la seconde guerre mondiale de tous les malheurs qu’ont pu connaître pendant la même période tous les non juifs (également appelés « gentils » ou « goïm »). Et c’est ainsi que nous sommes priés de croire que six millions de morts juives pèsent beaucoup plus que quarante millions de morts chez les goïm.
 
Les juifs sont généralement convaincus qu’ils sont le peuple « élu », et cela dans tous les sens du mot, c’est-à-dire qu’ils ont été choisis par Dieu pour le meilleur et pour le pire. Ils constituent la meilleure part de l’humanité (selon Jean Kahn, ils ont «un supplément d’âme») mais, en même temps, quand ils souffrent, leur souffrance est spécifique et infinie. Pour cette raison, un crime commis contre un seul juif doit bouleverser l’humanité entière et réclamer vengeance jusqu’à la fin des temps. Aux yeux d’une telle élite, le fait qu’en février 1945 des dizaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants allemands ont été engloutis dans les fournaises du bombardement de Dresde (« le plus grand crématoire du monde pour vivants ») n’est rien en comparaison du fait que, peut-être, selon des témoins juifs, un Britannique d’origine polonaise aurait, en 1941-1942, sous l’occupation allemande, tué trois juifs en Biélorussie. Sous la pression d’organisations juives, cet homme de quatre-vingt-cinq ans va être jugé pour meurtre.[1] Pendant ce temps, à Londres, le responsable du « crématoire pour vivants » de Dresde, le maréchal de la Royal Air Force, Sir Arthur Harris, a sa statue.
 
Le mot hébreu de « shutzpah » désigne l’impudence, le culot, l’aplomb. Les juifs donnent parfois comme exemple humoristique de shutzpah celui d’un fils qui, après avoir tué successivement son père, puis sa mère, s’avise de réclamer une pension d’orphelin.[2]  
 
Le mot yiddish de « schnorrer » désigne le mendiant institutionnel. Le schnorrer estime qu’il a droit à l’aumône et que c’est à lui de déterminer, en toute liberté, le montant de cette aumône. Il insulte ceux qui lui refusent son dû ou lui en contestent le montant. Pour faire valoir ses droits et pour châtier les récalcitrants, il en appellera aux institutions.[3]  
 
Afin d’illustrer ce qu’un schnorrer, doté de shutzpah, peut tirer d’une habile exploitation de la Shoah[4], on consultera Le Paradoxe juif, livre de Nahum Goldmann, président du Congrès juif mondial et « presque le pape des juifs »[5]. Pour ce personnage, qui avait le franc-parler du parfait cynique : « La vie juive est composée de deux éléments : ramasser de l’argent et protester. » Le récit de ses tractations avec Konrad Adenauer, chancelier d’Allemagne fédérale, est hallucinant pour un goy. Ce haut représentant de la communauté juive internationale ne fait mystère d’aucun des subterfuges, ni d’aucun des chantages qui lui ont permis d’extorquer d’une Allemagne encore exsangue l’engagement d’avoir à verser aux juifs et à l’État d’Israël quatre-vingts milliards de DM.[6] Il raconte, par exemple, deux épisodes qui appartiennent, dit-il, « au chapitre “Comment gagner des millions en racontant des histoires” ». Ces histoires-là sont dignes d’un pur schnorrer. Le chantage auquel il se livre auprès de Julius Raab, chancelier d’Autriche, est tout aussi parlant. Raab, juif et ancien détenu d’un camp de concentration, refuse d’abord de lui verser une somme de trente millions de dollars pour un « arrangement » en faveur des juifs. C’est alors que Goldmann le menace de louer à Vienne une salle de deux mille places pour y faire projeter gratuitement le film de l’entrée de Hitler dans la capitale autrichienne en 1938 : on y constate l’enthousiasme des Viennois.[7] Raab cède. Quelques années plus tard, lors d’une visite à Washington, Raab se voit à nouveau réclamer la même somme par Goldmann. Il se rebiffe et dit : «Nous avons conclu un arrangement : comment pouvez-vous revenir dessus ? » Goldmann lui fait alors comprendre, menace voilée à l’appui, qu’on peut toujours revenir sur un arrangement. Raab lui cède donc une nouvelle fois. Son successeur au poste de chancelier d’Autriche devient Kreisky, un juif lui aussi. Goldmann va trouver le nouveau chancelier et lui réclame une nouvelle tranche de trente millions de dollars, mais, l’affaire n’ayant pas trouvé sa fin au moment de la rédaction du livre, nous ignorons si le schnorrer Nahum Goldmann a encore une fois obtenu satisfaction.
 
Personnellement, je donne tort à ceux qui tentent d’expliquer le mensonge du prétendu « Holocauste » par l’idée d’un « complot juif ». Dans un tel cas, les juifs n’ont nul besoin d’ourdir un complot.[8] Il leur suffit, tout simplement, d’obéir à des usages millénaires, ceux de la tradition juive.
 
17 mai 1996

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[1] Cas de Szymon Serafinowicz. En Allemagne, voyez le cas de Theodor Oberländer, âgé de quatre-vingt-onze ans, totalement aveugle et à demi paralysé ; déjà persécuté par le régime communiste allemand qui l’avait condamné par contumace (jugement cassé après la réunification de l’Allemagne), il passe maintenant en jugement à Cologne. De son côté, le juif Markus Wolf, ex-éminence de la police communiste de la RDA, joue les vedettes médiatiques.
[2] On découvre une récente illustration de ce qu’est la shutzpah dans la plainte de la chanteuse Régine Schekroun (« la reine des boîtes de nuit ») contre la compagnie American Airlines ; pour les détails, voy. « La contre-attaque de Régine », Le Figaro, 21 mai 1996, p. 10.
[3] Sur certains traits de ce mendiant institutionnel, voy. L. Rosenzweig, « Schnorrer », Le Monde, 26 avril 1996, p. 29.
[4] Les juifs eux-mêmes désignent par l’expression « Shoah Business » l’exploitation du prétendu « Holocauste ». Ils disent même : « There’s no business like Shoah Business ». L’expression, issue des milieux juifs new-yorkais, semble remonter au début des années soixante-dix.
[5] Nahum Goldmann, Le Paradoxe juif [Conversations en français avec Léon Abramowicz], Stock, Paris 1976 ; voy., en particulier, les pages 67, 152-167, 231.
[6] Le gouvernement de Bonn semble avoir versé à ce jour cent milliards de DM. Il prévoit de verser des « réparations » jusqu’en l’an 2030. À ces sommes il convient d’ajouter les importantes contributions accordées aux juifs ou à l’État d’Israël par les Länder (c’est-à-dire les provinces), par les grandes entreprises industrielles ou bancaires et par nombre d’associations allemandes. Par ailleurs, d’autres pays se voient, eux aussi, contraints de verser, sous peine de boycottage américain ou international, des « réparations » ; tel est, en ce moment, le cas de la Suisse ou de la Hongrie. La France, pour sa part, va verser de l’argent aux juifs en conséquence de la déclaration qu’au lendemain de son élection à la présidence de la République Jacques Chirac a cru devoir faire sur la culpabilité des Français dans « les crimes de l’État français (1940-1944)». Le paradoxe est qu’en France un ancien résistant sera ainsi amené à payer pour des «crimes» qu’il combattait.
[7] On oublie trop souvent que, dès 1918, les Autrichiens ont manifesté leur désir d’être rattachés à l’Allemagne. Le 12 novembre 1918 la république est proclamée à Vienne ; elle se rattache au Reich allemand. Ce n’est qu’en raison de l’opposition des Alliés que cette dernière décision est annulée.
[8] Il est plaisant d’entendre les juifs se plaindre ou se moquer de ce que certains goïm parlent de « complot juif ». Nul n’est plus porté à voir partout des complots que le juif élevé dans la croyance que l’antisémitisme est le résultat d’une sorte d’entente millénaire qui va des Égyptiens de l’Antiquité aux Allemands du IIIe Reich en passant, pour ainsi dire, par tous les peuples de la terre, de siècle en siècle et pour l’éternité. L’idée de « complot » est, en ce sens, typiquement juive.