Le mythe de l’extermination des juifs
Les Allemands auraient procédé à l’extermination de millions de juifs (sans compter les Tziganes et les autres) sur toute la surface d’un continent et ce, pendant trois ans environ.
Or, on ne trouve aucune trace de cette gigantesque entreprise d’assassinat ordonnée, conçue, mise en œuvre, financée, administrée par les nazis. Ceux-ci auraient mis au point et utilisé pour perpétrer ce crime sans précédent une arme spécifique : la chambre à gaz homicide ou le camion à gaz homicide. Là encore aucune trace.
En résumé, on ne trouve : ni un ordre, ni un plan, ni un budget, ni une arme du crime (pas une seule expertise de « chambre à gaz » ou de « camion à gaz », ni un cadavre (parmi les innombrables autopsies, pas une seule prouvant un assassinat par gaz-poison).
Qu’est-ce qu’un assassinat, c’est-à-dire un meurtre commis avec préméditation, où l’on ne découvre ni préméditation, ni arme, ni cadavre ? Qu’est-ce que des millions d’assassinats de cette nature ? Passe pour un miracle, mais des millions de miracles?
Les historiens exterminationnistes
On appelle ainsi les historiens qui défendent la thèse selon laquelle il y a eu une politique d’extermination des juifs.
Depuis quelques années ces historiens se disputent, faute de trouver trace d’un ordre, d’un plan ou d’un budget. Ils échafaudent des théories. Pour les «intentionnalistes», il faut tout de même présupposer l’existence d’un ordre donné par Hitler tandis que, pour les « fonctionnalistes », ce n’est pas indispensable et cet ordre est même improbable : on peut supposer que cette extermination des juifs a été le résultat d’une multiplicité d’initiatives locales et individuelles.
Cette dispute prouve bien qu’on n’a trouvé ni ordre, ni plan, ni budget.
Ces mêmes historiens débattent du « problème des chambres à gaz ». Cette expression a été créée par Olga Wormser-Migot, historienne d’origine juive. Voyez sa thèse sur Le Système concentrationnaire nazi (1933-1945), p. 541-544. Elle a été reprise par la 1ère chambre civile (section A) de la cour d’appel de Paris dans son arrêt du 26 avril 1983 (affaire LICRA et tous autres contre R. Faurisson). S’il existait des expertises, ce problème n’existerait sans doute pas.
Le « mensonge d’Auschwitz »
Les cinq principaux responsables de ce mensonge historique sont :
— Alfred Wetzler ou Weczler
— Walter Rosenberg, alias Rudolf Vrba
— Czeln Mordowicz, alias Petr Podulka
— Arnost Rosin, alias Jan Rohac
— et le rabbin Michael Dov Ber Weissmandel ou Weissmandl.
Pour tout détail s’adresser à R. Faurisson.
Mensonge créé en avril 1944 en Europe centrale, transmis par Gerhard Riegner, représentant en Suisse du Congrès Juif Mondial, et officialisé à Washington en novembre 1944 par la publication du War Refugee Board Report.
Les Soviétiques, en un premier temps, n’en tiendront pas compte. C’est ainsi que dans la Pravda du 2 février 1945, ils défendront la thèse selon laquelle à Auschwitz les Allemands se servaient principalement d’électricité pour tuer leurs victimes en série. C’est seulement dans leur rapport du 6 mai 1945 (document URSS-008) qu’ils se rallieront à la thèse de l’extermination par gaz à Auschwitz.
20 avril 1987