Le docu-drame Holocaust ou la fin d’un tabou
Les « chambres à gaz » hitlériennes n’ont jamais existé.
Le « génocide » (ou : la tentative de « génocide ») des juifs n’a jamais eu lieu.
Ces prétendues « chambres à gaz » et ce prétendu « génocide » sont un seul et même mensonge.
Ce mensonge est d’origine essentiellement sioniste.
Il a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont l’État d’Israël est le principal bénéficiaire.
Ce mensonge a été dénoncé par les Allemands dès 1944.
De 1945 à nos jours il a été dénoncé aussi par des Français, des Anglais et des Américains.
Pendant trente ans, le grand public n’a rien su de ces dénonciations du mensonge. Les grands moyens d’information n’en ont rien dit. Au contraire, ils ont répété le mensonge d’une façon de plus en plus assourdissante.
À partir de 1974-1975 ils ont commencé à parler de ceux qui dénonçaient le mensonge. Avec des injures et en déformant leurs propos. Ils ont dit, par exemple : « Ces gens sont des nazis, des fous, des illuminés. Ils nient l’évidence. Ils osent dire que les camps de concentration nazis et leurs fours crématoires n’ont pas existé. »
En 1977 les grands moyens d’information ont continué de plus belle. Ils ont lancé des cris d’alarme. Ils ont dit que le nazisme renaissait en Allemagne et un peu partout dans le monde.
Pas une fois ils n’ont accepté de donner la parole à ceux qu’ils accusaient.
Pas une fois ils n’ont fait connaître l’opinion exacte des accusés.
Pourquoi cela ?
Parce qu’ils ont peur que le grand public, en voyant ce que sont réellement et ce que disent réellement les accusés, ne se rende compte qu’on lui a menti.
Le grand public verrait que les accusés sont des gens sérieux, informés, soucieux de vérité et non de propagande. Ces gens n’ont jamais nié l’existence des camps de concentration et des fours crématoires. Ils disent que ces camps ont existé et ils ajoutent que les Allemands n’ont été ni les premiers, ni les derniers à utiliser des camps de concentration. Ils disent que ces fours crématoires ont, eux aussi, existé et ils ajoutent qu’il n’y a rien de mal à brûler des cadavres au lieu de les enterrer, surtout là où il y avait des risques d’épidémies.
Ils disent, en revanche, que jamais les dirigeants de l’Allemagne n’ont donné l’ordre, ni ne se sont donné les moyens de tuer qui que ce fût en raison de sa race ou de sa religion. Le prétendu «holocauste» de six millions de Juifs est un mensonge orchestré, bon gré mal gré, par les médias. Le film américain Holocaust, qualifié de « docu-drame », n’est qu’une farce, doublée d’une opération politico-commerciale. Il constitue l’aveu, en 1978, que le tabou sioniste n’a plus le choix qu’entre le nazisme de sex-shop et le battage de show-business.
30 avril 1978