Proposition de loi de M. Jean-Claude Gayssot tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite et xénophobe (Assemblée nationale, 2 mai 1990)
Les révisionnistes en prison ?
Sur l’initiative du Parti socialiste et, en particulier, de Laurent Fabius, l’Assemblée nationale examinera demain, 2 mai, une loi proposée par le Parti communiste (Jean-Claude Gayssot) et adoptée par la Commission des lois (François Asensi) qui permettra de jeter en prison ceux qui disent qu’il n’a jamais existé de chambres à gaz autres que de désinfection dans les camps de concentration allemands de la dernière guerre.
Cette loi stalinienne risque d’être votée à l’heure même où le Grand Mensonge communiste s’effondre, même à Moscou, sur la Place Rouge.
Cette loi stalinienne pourrait bâillonner les Français au moment même où les Allemands ont eu, à deux reprises, le droit de voir et d’entendre dans une émission de « Spiegel T.V. » (Radio-Télé Luxembourg) l’ingénieur américain Fred Leuchter, spécialiste des chambres à gaz homicides, qui, dans un rapport de 192 pages déposé devant le Tribunal de Toronto, a établi qu’il n’a jamais existé ni pu exister de telles chambres à gaz à Auschwitz, à Birkenau et à Majdanek. Son rapport s’accompagne d’analyses de fragments recueillis, d’une part, dans une vraie chambre à gaz de désinfection de Birkenau et, d’autre part, dans les prétendues chambres à gaz homicides d’Auschwitz et de Birkenau.
L’Union soviétique et les pays de l’Est se libèrent du Grand Mensonge communiste. L’Allemagne commence à se libérer du Grand Mensonge holocaustique. La France, elle, s’apprête à donner des gages à son Parti communiste, perclus de mensonges, et à l’internationale holocaustique, toute ardente du mensonge des chambres à gaz et du génocide.
La France, « la patrie des droits de l’homme », va devenir la risée du monde entier.
Les révisionnistes ne craignent ni la répression, ni la prison. Le révisionnisme, cette grande aventure de la fin de notre siècle, s’est déjà étendu sur les cinq continents (y compris l’Afrique et l’Asie). Plus rien ne l’arrêtera.
N.B. : À la page 22 du rapport de la Commission des lois figure la perle suivante :
Il s’agit donc bien de réprimer ceux qui contestent l’holocauste nazi, et non pas de viser l’ensemble des faits qui, dans tel ou tel pays, peuvent être considérés comme des crimes contre l’humanité.
1er mai 1990