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À propos de l’affaire Kevin Käther

Même en Allemagne et même en dépit d’une répression sans frein, le révisionnisme de « l’Holocauste » continue de marquer des points. En atteste la surprenante affaire du jeune Kevin Käther qui montre qu’aujourd’hui des magistrats allemands semblent se rendre compte que, sur le plan historique et scientifique, les historiens officiels se trouvent bien en peine de PROUVER leurs assertions face à un révisionniste averti.

Dans le texte intitulé Un signe des temps : le phénomène “Kevin Käther” je donne l’exemple de quelques fiascos auxquels ont abouti ces historiens de cour. Par exemple, après Jean-Claude Pressac (1944-2003), qui avait été le protégé du couple Klarsfeld, on a pu voir, le 27 décembre 2009, le juif Robert Jan van Pelt, professeur d’université au Canada, signer à son tour une sorte de capitulation. Constatant qu’à Auschwitz on s’acharne à vouloir sauvegarder les lieux à coups de millions, il a, pour sa part, estimé qu’en fin de compte mieux vaudrait laisser la nature y reprendre ses droits car, selon ses propres mots, « 99% de ce que nous savons » sur ce camp (il était la capitale de « l’Holocauste » ; il contenait des abattoirs chimiques appelés «chambres à gaz», etc.) ne trouve tout simplement pas sa PREUVE sur place (A case for letting nature take back AuschwitzToronto Star, 27 décembre 2009). Autrement dit, même pour R. J. van Pelt, ce que les pèlerins, par millions, s’imaginent voir sur place n’est, à 99%, que du faux, du vide ou du vent.

Bien avant R.J. van Pelt, les révisionnistes, pour leur part, avaient signalé qu’à Auschwitz leurs études poussées du terrain et des bâtiments (en état d’origine ou en ruines) avaient prouvé que les chambres à gaz nazies n’ont ni existé ni même pu exister, et cela pour des raisons d’ordre physique, chimique, technique, architectural et documentaire. Pour ma part, le 19 mars 1976, j’avais, – grâce, je le confesse, à une petite manœuvre datant de 1975 – découvert au Musée d’État d’Auschwitz la boîte noire de « l’Holocauste ». Examinant le contenu de cette « boîte » (en fait, des documents qu’on nous cachait depuis 1945), j’avais pu ensuite prouver que jamais les bâtiments des différents crématoires d’Auschwitz et de Birkenau n’avaient contenu de « chambres à gaz » mais seulement d’inoffensifs dépositoires pour les cadavres en attente de crémation. J’avais aussi montré comment, après la guerre, les communistes polonais avaient maquillé un « abri anti-aérien avec salle d’opérations chirurgicales et salle d’eau » pour en faire, au camp principal d’Auschwitz, cette prétendue « chambre à gaz » que visitent pieusement des foules de pèlerins (peut-être dix millions, de 1948 à nos jours).

Le juif austro-américain Raul Hilberg (1926-2007) aura été le maître filou des historiens officiels. Il mérite qu’on s’attarde une dernière fois sur les élucubrations que lui a dictées sa « remarquable mentalité cabalistique » (la formule est d’Arthur Robert Butz ; voy. The Hoax of the Twentieth Century, p. 20, ou, en traduction française, La Mystification du XXsiècle, p. 23. C’est ce que je me suis efforcé de faire ici à l’heure d’un bilan général de la controverse, bilan qui, sur le plan strictement historique et scientifique, se solde par un désastre pour les exterminationnistes et par une écrasante victoire pour les révisionnistes. Mais il va de soi que, sur d’autres plans que celui de l’histoire et de la science, la Shoah pavoisera plus haut que jamais, à proportion justement des avancées du révisionnisme. Continueront ainsi de prospérer l’industrie de « l’Holocauste », son commerce ou son business, sa religion, ses combines, ses procédés maffieux et ses chantages. Les cérémonies shoatiques persisteront avec leurs rites, leurs ostensions, leurs pèlerinages et leurs quêtes forcées. Avec la même frénésie on shoatisera au théâtre, au music-hall, au cinéma, dans la chanson, dans le spectacle en général, dans la muséographie mais aussi dans la littérature et surtout dans les médias. De l’école maternelle à l’université, le bourrage des crânes se poursuivra. On enseignera la haine et la nécessité de la vengeance ainsi que le devoir, en passant, d’écumer les mouroirs pour y détecter la présence éventuelle d’anciens nationaux-socialistes presque centenaires qu’on traînera ensuite en justice sur des civières. On fera comprendre que rien n’est beau comme d’aller en quelque sorte cracher sur les tombes des vaincus, en particulier si le vaincu se trouve avoir été votre père, votre grand-père ou votre arrière-grand-père. Quant aux révisionnistes, ils continueront d’être châtiés et le monde médiatique, comme actuellement dans l’affaire Vincent Reynouard, saura observer le silence sur les traitements qui leur seront par là infligés ainsi qu’à leurs familles.

Il est possible que finisse alors par se créer contre les propagateurs du Grand Mensonge et de la Haine un phénomène de rejet. Comme ils ignorent en général ce qu’est le révisionnisme, les braves gens ne sauront peut-être pas que la cause de ce délire croissant tient justement aux progrès accomplis par le révisionnisme, année après année et surtout depuis quinze ans grâce à Internet. Devant une hystérie qu’ils ne s’expliqueront pas, la colère des simples n’en sera que plus vive. En France, aujourd’hui, et pour ne prendre que cet exemple, le voyageur ordinaire qui acquitte le montant d’un billet de chemin de fer ignore qu’une part de son argent sera reversé par la SNCF à des institutions qui font profession de préserver « la Mémoire » juive. Et il est d’autres secteurs où s’exerce ce genre de ponctions. Quand en 1995 Jacques Chirac, président de la République, a osé prétendre que, pendant la guerre, la France avait, contre les juifs, « commis l’irréparable », des organisations juives ont, avec aplomb, immédiatement conclu : « La France doit donc “réparer” ». Et la France, qui avait déjà beaucoup versé aux nombreux survivants ou «miraculés» juifs de la guerre, s’est alors mise en devoir de verser encore plus. Bien d’autres pays se sont ainsi vu réclamer chaque année leur livre de chair : ils ont « donné » et le plus remarquable est qu’ils l’ont fait en remerciant les maîtres chanteurs de leur avoir extorqué tant d’argent. « Sancta Simplicitas ! Sancta Formido ! » (Sainte Ingénuité ! Sainte Frousse !), a-t-on envie de s’exclamer.

Cependant il se peut qu’un jour les religionnaires de « l’Holocauste » soient pris de panique devant l’impatience qu’à la longue suscitera leur tam-tam. À force de parler de leur magique chambre à gaz sans jamais pouvoir la montrer peut-être provoqueront-ils sur ce point jusqu’à l’incrédulité des plus crédules. Ils pourraient alors tourner casaque et venir soudain nous expliquer que la trinité du génocide, des chambres à gaz et des six millions a été inventée par des antisémites en vue de tuer les juifs par le ridicule. Dans les années 1980, il s’est déjà trouvé des juifs pour soutenir une pareille thèse, qui avait suscité l’inquiétude de Pierre Vidal-Naquet (« Ce serait capituler en rase campagne ») : il n’est pas exclu que cette calembredaine reprenne vie. En pareil domaine tout est possible et puis, plus généralement, ainsi qu’il est arrivé à Louis-Ferdinand Céline d’en faire la remarque, « les couillons n’ont pas fini d’être ahuris par les galipettes de l’Histoire ! » (Lettres de prison à Lucette Destouches […], NRF, Gallimard, 1998, p. 314 ; lettre du 23 décembre 1946).

Une bonne nouvelle en attendant : la fin de l’année 2011 verra une surprenante victoire révisionniste. On comprendra que je ne puis, pour le moment, en dire plus. – Bonne année !

Pour un compte rendu en allemand de son procès par K. Käther lui-même, voyez globalfire.tv/nj/10de/verfolgungen/kevin_verfahrenseinstellung.htm [lien caduc].

31 décembre 2010