Pour s’initier au révisionnisme historique

De nouveaux correspondants francophones nous demandent comment ils pourraient s’initier au révisionnisme. 
 
S’ils veulent se faire une idée du révisionnisme historique, de sa méthode et de ses conclusions (celles, du moins, auxquelles nous étions déjà parvenus en 1998), je me permets de leur conseiller de lire l’introduction en date du décembre 1998 que j’ai rédigée pour mes Écrits révisionnistes (1974-1998).
 
Mais il faut savoir que, depuis 1998, la recherche révisionniste, aussi bien en France qu’à l’étrangera permis d’autres découvertes encore et provoqué chez nos adversaires un désarroi croissant. 
 
Pour ne prendre que cet exemple, on apprenait en 2000 que, pour Jean-Claude Pressac, qui avait pourtant été le protégé du couple Klarsfeld et le coryphée de la cause exterminationniste, “le dossier” de l’histoire officielle de la déportation était, en fin de compte, “pourri” par trop de mensonges “destinés aux poubelles de l’histoire”. 
 
C’est dans les deux dernières pages d’un long “entretien”, daté du 15 juin 1995que J.-C. Pressac a ainsi couché par écrit ce qu’on est en droit d’appeler son acte de capitulation. Pendant près de cinq ans, on nous a caché le texte de cette capitulation. Il a fallu attendre mars 2000 pour le découvrir, en petit caractère typographique, à la toute fin du livre de Valérie Igounet, Histoire du négationnisme en France, Seuil, Paris 2000 (p. 613-652 ; en particulier, p. 651-652). 
 
J.-C. Pressac est mort le 23 juillet 2003, à l’âge de 59 ans, dans l’unanime silence des médias français et étrangers, qui l’avaient autrefois salué comme un sauveur de la thèse exterminationniste. 
 

Sic transit gloria mundi et mendacii. [Ainsi passe la gloire du monde et du mensonge.]

 

16 mars 2010