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À propos de En confidence

En confidence est le titre d’un entretien écrit que j’ai eu en décembre 2007 avec une “Inconnue”. Il a été publié en avril 2009 sous la forme d’un petit ouvrage qui est disponible chez Akribeia, 45/3, Route de Vourles, 69230 Saint Genis Laval (10 €). C’est en septembre de la même année que “l’Inconnue”, qui avait pris l’initiative de cet entretien, a courageusement dévoilé son nom dans une lettre adressée à Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, et à Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture ; il s’agit de l’universitaire Maria Poumier (voy. Wikipedia).

Le 8 mai 2009, François Brigneau, pour sa part, m’a envoyé une lettre dont voici quelques extraits :

Vous venez de nous donner un livre précieux, important, un condensé rapide et précis qui arrive à  point. Etrange coïncidence. Il aura fallu attendre Gaza-crématoire pour que certaines couches de populations regardent d’un autre œil les chambres à gaz… […] En 77 pages tout s’éclaire : le révisionnisme considéré comme un style de vie, l’imbroglio des pseudo-chambres à gaz homicides, les causes, les effets, les dégâts et les profits de l’escroquerie historique. On voit la persécution, les persécuteurs et les persécutés. On vous voit, de pied en cap (et quelle tête !), Arsène Lupin, Don Quichotte, Sherlock Holmes, fils de Descartes et de Céline, à l’enseigne de l’Enseignant, le vrai titre de gloire. On comprend mieux. On comprend tout. J’ai passé trois heures dans une sorte de félicité intellectuelle que j’avoue avoir rarement connue […] [D’En confidence] il faudrait faire la lecture dans les écoles, avec celle de Mea Culpa [de Louis-Ferdinand Céline, 1936] comme vous le conseillez à M. Darcos [notre ministre de l’Education nationale]. Si Ferdinand lui faisait un peu peur, nul doute que vous serez maintenant entendu.

De son côté, une correspondante, Annick D…, m’a tout récemment envoyé un article publié dans Réfléchir Agirqui se définit comme une “revue autonome de désintoxication culturelle” ; il s’agit d’un compte rendu de lecture paru dans la livraison n° 34 (hiver 2010). Sous le titre “Robert FAURISSON, En confidence” on peut notamment y lire :

Voici un entretien poignant avec Robert Faurisson, comme peut-être vous ne l’avez jamais lu. […] Juste à travers un entretien, le parcours d’un homme de lettres et universitaire brillant, spécialiste de Rimbaud et de Lautréamont qui, par un amour fou de la vérité et de la justice, a mis le doigt dans l’engrenage fatal du révisionnisme, au point d’en voir sa vie détruite par les procès, les menaces, les agressions, la mise au ban de la société, de l’université et des nations occidentales, la ruine financière… et au point d’apparaître […] comme le plus infréquentables des infréquentables, à qui quelques dingues dénient même le droit de vivre et de respirer ! Voilà encore un livre à faire lire à tous ceux qui s’imaginent que nous vivons dans un monde libre où la liberté d’expression est totale. La haute et noble figure du professeur Faurisson est là pour rappeler à tous les groupes que l’Union européenne est devenue le tombeau des idées dissidentes et des derniers hommes libres. On pourra symboliquement reparler de liberté d’expression le jour où les livres de Faurisson seront vendus à la FNAC et qu’il sera convié sereinement à participer à des débats télévisuels ou radiophoniques.

15 mars 2010