La répression du révisionnisme en France
La loi antiraciste du 13 juillet 1990 contient une disposition anti-révisionniste qui prévoit une peine de un mois à un an de prison et une amende de deux mille à trois cent mille francs, sans compter d’autres sanctions, contre ceux qui auront contesté «l’existence des crimes contre l’humanité» tels que définis et punis à Nuremberg…