Non-lieu dans l’affaire de Nantes
Le professeur Jean-Claude Rivière, rapporteur de la thèse d’Henri Roques sur Kurt Gerstein (“la thèse de Nantes”), avait été accusé par Alain Devaquet, ministre de l’Éducation nationale, de faux en écritures publiques en raison de la présence sur le procès-verbal de soutenance d’une fausse signature, d’ailleurs superfétatoire. Le recteur Jean-Claude Dischamps, avec le concours particulièrement…