Un autre jour dans la vie d’un révisionniste

Lu dans Die Bauernschaft (de mars 1995) maintenant édité par Ernst Zündel et non plus par Thies Christophersen, hospitalisé :

J’ai été hospitalisé à la suite d’une attaque cardiaque. Mon hôte, DJörgen Kistrup, un Danois, mais qui habite en Allemagne, m’avait protégé et se tenait à mes côtés. Les suites : sa famille s’est dressée contre lui et sa femme l’a chassé de leur demeure commune. Le 16 janvier il s’est suicidé.

Il me faut maintenant conduire un procès contre la communauté de ses co-héritiers (en plus d’autres procès dont l’un avec menace d’une peine de 500.000 DM). Ma femme n’ose à peu près plus me rendre visite à l’hôpital parce qu’elle ne supporte pas la terreur psychologique.

Néanmoins, je ne renie rien, […] (p. 2).

Voilà qui s’ajoute à l’incendie criminel de la maison de Zündel à Toronto, au colis piégé reçu par ce dernier, à l’immolation par le feu de l’Allemand de soixante-quinze ans pour protester contre le Niagara de mensonges déversés sur son pays. La voiture de T. Christophersen a été totalement détruite. Son avocat Jürgen Rieger a été attaqué et blessé par une douzaine de prétendus « anarchistes » ; sa voiture a été incendiée. Idem pour Wolfgang Juchen, etc.

24 mai 1995