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Une réussite juive du XXe siècle

Le vingtième siècle s’achève. Il aura été celui de deux énormes boucheries mondiales et, aussi, de deux énormes mensonges juifs. Le premier de ces mensonges a été celui du communisme international, lequel a abouti au « Goulag ». Le second est celui de la « Shoah ». Le premier a fini par s’effondrer dans une grande partie du monde mais non sans laisser de graves séquelles dans les esprits. Le second prospère autour d’« Auschwitz », qu’on nous présente comme le crime par excellence du XXe siècle alors qu’il en est l’imposture la plus monumentale.

Il arrive parfois aux juifs d’évoquer ce qu’ils appellent eux-mêmes «la névrose juive» (voy., par exemple, Jacques Mandelbaum, « Dieu pense et l’homme rit », Le Monde (Télévision), 2-3 janvier 2000, p. 7). « Auschwitz » et la « Shoah » (que Jacques Chirac, président de la République française, vient de nommer dans son discours du 31 décembre 1999) illustrent cette névrose dont on ne connaît que trop les avantages qu’en tirent les juifs avec ce qu’ils désignent sous le nom de « Shoah-Business ». Cette même névrose les conduit à entretenir le feu de la vengeance de génération en génération. Encore cinquante-cinq ans après la dernière guerre mondiale on les voit rechercher, débusquer, persécuter et livrer à la justice des octogénaires ou des nonagénaires qu’ils accusent d’avoir, dans leur jeunesse, commis d’invraisemblables horreurs à encontre du peuple élu. Quant aux médias, à l’exception – qui les enrage – d’Internet, les juifs les ont totalement investis et ils en font la caisse de résonance de leur névrose.

Les névroses se soignent mais non la névrose juive, même quand elle tourne à la psychose. Le mensonge et l’arnaque constituent des crimes ou des délits, sauf quand ils sont juifs. En France, en Allemagne et en d’autres pays, on fait la chasse aux sectes, sauf à la secte des illuminés de la « Shoah ». Mieux, la loi et la coutume nous interdisent toute critique de ce mensonge, de cette arnaque, de cette haine et de cette secte de névrosés. Saluons là une réussite juive du XXe siècle!

4 janvier 2000