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L’Allemande Ursula Haverbeck et la Britannique Michèle Renouf

Pour commencer, voyez, je vous prie, dans ce site En Allemagne, Ursula Haverbeck – âgée de près de 90 ans – vient d’être incarcérée pour révisionnisme (9 mai 2018).

La révisionniste Ursula Haverbeck, « la grande dame allemande », comme l’appellent ses admirateurs, est en prison à Bielefeld (Rhénanie) depuis le 7 mai. Elle aura 90 ans le 11 novembre. Elle est arrière-grand-mère. Son prochain procès, pour une autre affaire de révisionnisme, aura lieu à Hambourg le 12 septembre. La distance entre son lieu de détention et le tribunal est supérieure à 250 kilomètres.

D’après ce que nous en apprend Lady Renouf, qui a recueilli ses informations auprès de l’avocat Wolfram Nahrath, les autorités allemandes ont décidé de soumettre la prisonnière à un véritable marathon juste avant son procès, lequel se tiendra dans un prétoire où, en dépit de son énergie native, elle risquera d’arriver en bien mauvaise condition physique. Partant de sa prison de Bielefeld cinq ou six jours avant le procès, elle fera étape dans cinq prisons différentes ! À chaque fois, elle se trouvera dans une voiture cellulaire bondée de monde. Puis, à la prison, elle aura à subir la fouille au corps réglementaire. Enfin, dans chacune de ces cinq prisons, elle devra faire face à de nouveaux délinquants ou criminels.

À ceux qui peut-être se demandent d’où vient que les autorités allemandes puissent envisager d’adopter un comportement d’une telle dureté, rappelons que l’Allemagne, encore 73 ans après sa reddition sans conditions du 8 mai 1945, reste largement, avec la présence de multiples bases militaires américaines sur son territoire, un «pays occupé». Elle courbe l’échine, elle croit ou affecte de croire  en ce qu’on lui enjoint de croire. Et puis, de toute façon, « le délire de mentir et de croire s’attrape comme la gale » (Céline).

Les organisations qui prétendent représenter les juifs se montrent de plus en plus inquiètes et brutales. Depuis 1985, elles sont en état de panique. En janvier 1985, elles ont assisté à la bouleversante déconfiture de Raul Hilberg au « premier grand procès d’Ernst Zündel à Toronto » (confirmée par son refus, écrit, de comparaître à nouveau, trois années plus tard, en qualité d’expert au « second grand procès d’Ernst Zündel à Toronto »). Depuis ce temps, les religionnaires de « l’Holocauste » connaissent une crise majeure qu’ils s’efforcent vainement de conjurer par une répression de plus en plus insensée et féroce.

Il ne fait cependant pas de doute que le révisionnisme d’Ursula Haverbeck et de Michèle Renouf finira par l’emporter. Aux historiens, il restera à composer une Enclyclopédie en vingt volumes du mensonge historique de l’Holocauste des juifs. On y trouvera les noms, en particulier, des magistrats qui se sont déshonorés avec tant de cynisme dans leur condamnation d’hommes et de femmes qui, en France, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Canada, et en bien d’autres pays du monde, vivent, travaillent et souffrent pour le révisionnisme historique, c’est-à-dire pour l’une des plus nobles aventures intellectuelles de l’humanité. Cette aventure aura connu ses « Justes » au nombre desquels figureront Ursula Haverbeck et Lady Renouf ; le volumineux ouvrage se dressera pour les siècles à venir tel le « monumentum aere perennius », du poète Horace ; il sera, n’en doutons pas, « un monument plus durable que l’airain ».

14 août 2018