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“Juif qui parle, bouche qui ment”

Nice Matin, 28 février 2000, p. 5

« Verba volant, scripta manent ».

Le faux témoin, le calomniateur, le
dénonciateur veut bien parler (contre
espèces ?) mais il se refuse à coucher
par écrit son « témoignage ».

« Juif qui parle, bouche qui ment »
(le favori de la reine dans Marie Tudor,
de Victor Hugo).

 

« Simplicité, rigueur, dignité » ont pour
antonymes :
duplicité, approximation et bassesse.

Ce « rescapé », ce « miraculé », cet
« enfant d’Auschwitz » est, à lui seul,
la preuve vivante de ce que les Allemands
n’ont jamais eu la politique-d’extermination-
physique-des-juifs qu’il leur prête.

28 février 2000