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Contribution à une enquête internationale sur la question de l’“Holocauste” des juifs

Une enquête sur la question de l’“Holocauste” des juifs devrait apporter une réponse claire et brève, non assortie d’exégèses, aux questions suivantes :

1. Existe-t-il un document explicite, signé d’Adolf Hitler ou d’une autorité quelconque du IIIe Reich, qui constitue un ordre de détruire physiquement les juifs ?

2. Existe-t-il un document explicite qui constitue un plan de destruction physique des juifs ?

3. Existe-t-il un document explicite qui prouve que, dans un pays en guerre comme l’était l’Allemagne, où l’économie entière était contrôlée et où budget et matières premières étaient sévèrement limités, un budget a été établi pendant plusieurs années et des matières premières ont été délivrées pour mener à bien une formidable entreprise d’extermination aux proportions industrielles ?

4. Existe-t-il une expertise de l’arme du crime prouvant que telle pièce d’habitation (à l’état d’origine, à l’état de reconstruction ou à l’état de ruine) a été une chambre à gaz homicide ou que tel camion (à l’état de plan ou à l’état de réalisation) a été un camion homicide ?

5. Existe-t-il un rapport d’autopsie établissant, dans le cas d’une mort imputable aux Allemands du IIIe Reich, que tel cadavre était celui d’une personne tuée par gaz-poison ?

6. Est-il vrai que le chiffre de 6.000.000 de morts juives n’est que symbolique et que ce chiffre, aussi bien que ceux de 5.100.000 ou de 4.400.000 proposés par tel ou tel historien, ne reposent que sur des spéculations et que jusqu’à présent, malgré les possibilités offertes par les moyens modernes de calcul, aucune étude n’a encore été entreprise par les défenseurs de la thèse de l’“Holocauste” pour essayer de déterminer scientifiquement le total des morts juives de la dernière guerre, qu’il s’agisse de morts naturelles ou de morts non naturelles ?

7. Est-il vrai que le Service international de recherches d’Arolsen-Waldeck, situé en Allemagne, mais dépendant du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et étroitement surveillé par dix pays dont l’État d’Israël, possède une énorme documentation propre à fournir une première et indispensable réponse à la question du nombre des morts juives et des survivants juifs, mais que cette institution se refuse ou se voit contrainte de refuser tout accès aux chercheurs – sauf à quelques privilégiés – et qu’elle est allée à la fin des années 70 jusqu’à fermer sa section historique (Historische Abteilung) et à s’interdire toute publication de statistiques pour s’être aperçue que certaines recherches ou statistiques risquaient de provoquer trop de remises en cause ?

20 juin 1990